[JMSDF] Actualités

Takagi a écrit:

Le matin du 15 février 2016, un P-3C de patrouille maritime a repéré un sous-marin inconnu à la limite de la Zone Contiguë japonaise à l'entrée septentrionale du détroit de Tsushima. Le destroyer ASAGIRI (DD-151), qui était en alerte à Kure, a appareillé pour le pister. […] Le ministère a loué l'excellente coopération entre ses avions de patrouille et ses navires de surface en lutte ASM. : marinsimspon:

C'est en effet relaté ici.

Les trois destroyers de la Force Maritime d’Autodéfense YAMAYUKI (DD-129), HATAKAZE (DDG-171) et AKEBONO (DD-108) sont arrivés le 17 février 2016 dans le port autonome de Sihanoukville au Cambodge. Ils y resteront quatre jours, jusqu’au samedi 20.


Ce groupe embarque actuellement la corvette d’hiver de l’académie navale d’Etajima. Les cent dix cadets de la promotion ont plusieurs activités culturelles, militaires (visite à la base navale de Ream) et sportives à leur programme.

Le 18 février, le commandant du groupe, le capitaine de vaisseau Mizoe Kazuhiko, rendra une visite de courtoisie à l’amiral Tea Vinh, commandant en chef de la Marine Royale Cambodgienne, à Phnom Penh.

Dans la rubrique [JMSDF] Marine Japonaise actuelle et future, Takagi a écrit:

Depuis plusieurs années, la Force Maritime d'Autodéfense entretient un détachement de P-3C à Djibouti pour surveiller le golfe d'Aden dans le cadre de la lutte contre la piraterie somalienne. Les avions et les équipages sont relevés tous les trois mois. L'autonomie du P-3C étant insuffisante pour faire le voyage sans escale, les avions ont coutume de faire une unique escale de ravitaillement en Thaïlande ou à Singapour.

Problème : le vol entre ces escales et le Japon fait passer au-dessus de la mer de Chine méridionale des appareils militaires bourrés d'appareils de détection et de guerre électronique. Les récentes prises de position de la Chine dans le secteur risquent d'obliger les P-3C à faire un détour et à se rajouter des escales. Le ministère japonais de la Défense envisage des escales aux Philippines ou en Malaisie (à Bornéo, plus précisément), ou tout du moins le survol de leurs territoires pour éviter la zone sensible, au cas où la Chine prendrait mal le survol des Spratley ou des Paracels par des P-3C en transit. Mais cette modification du vol des P-3C demande la mise en place de quelques accords et procédures entre le Japon, la Malaisie, les Philippines et peut-être l'Indonésie, accords que la Chine risque de présenter de manière biaisée comme une tentative d'encerclement et d'alliance sinophobe.

La presse japonaise attend la décision du gouvernement en la présentant comme un test de politique étrangère. Mais le vrai test sera celui de l'interprétation chinoise du prochain transit des P-3C. : peut-être le détour s'avèrera inutile, en fin de compte.

À suivre…

De retour de leur déploiement à Djibouti pour la lutte contre la piraterie somalienne dans le golfe d’Aden, deux P-3C de la Force Maritime d’Autodéfense font escale à Đà Nẵng au Vietnam ce 18 février 2016. Ils vont y rester trois jours.


L’escale sera mise à profit pour amorcer la mise en œuvre d’une coopération entre les deux pays annoncée en novembre dernier par les deux ministres de la Défense : pendant ces trois jours, des navires vietnamiens et les deux P-3C devraient esquisser un protocole de coopération pour des missions de recherche et sauvetage en mer de Chine méridionale.

Le 23 février 2016, la Force Maritime d’Autodéfense a publié dans la presse japonaise un communiqué d’observation des glaces à la dérive autour de Hokkaidō. Cette année, la progression du front de glaces vers le sud se fait significativement plus tard que les années précédentes, même si la mer d’Okhotsk s’est transformée en une vaste étendue gelée.


Le communiqué précise qu’un P-3C de la base aérienne de Hachinohe dans la préfecture d’Aomori (extrémité septentrionale de Honshū) a volé environ une heure pour atteindre Wakkanai puis la mer d’Okhotsk. Là, il a confirmé par observation visuelle et radar la position et l’épaisseur de la glace et a transmis ses relevés à l’observatoire météorologique de Sapporo.

Une dizaine de vols de P-3C sont effectués chaque année au profit de l’observatoire météorologique de Sapporo par les P-3C basés à Hachinohe. Le reste de leurs missions consiste en patrouille maritime et, le cas échéant, en recherche et sauvetage en mer. L’année dernière, les dix P-3C de Hokkaidō ont suivi 58 navires russes (dont des sous-marins) dans le détroit de La Pérouse et 5 navires chinois.

La corvette d’hiver de l’Académie Navale fait escale en Malaisie : le jeudi 25 février 2016, les escorteurs YAMAYUKI (DD-129), HATAKAZE (DDG-171) et AKEBONO (DD-108) sont arrivés à la base navale de Sepanggar à Kota Kinabalu. Ils y resteront jusqu’au dimanche 28.


Les 540 membres d’équipage et les 110 cadets ont plusieurs activités à leur programme : visites, matchs de sport, échanges avec la marine malaisienne au titre d’un programme de formation mutuelle.

La communauté japonaise de Kota Kinabalu a pu visiter un des bâtiments pendant une heure, profitant du circuit de visite qui avait été mis en place pour une des délégations de la marine malaisienne.

Le lundi 29 février 2016, le capitaine de vaisseau Otani Miho a pris le commandement du destroyer YAMAGIRI dans la base navale de Yokosuka.

C’est la première femme à commander un grand bâtiment de combat de la Force Maritime d’Autodéfense.


Née à Odai dans la préfecture d’Ōsaka et aujourd’hui âgée de 44 ans, Otani Miho a été brevetée de l’Académie Navale d’Etajima en 1996. C’était une des premières femmes à l'être. Avant le YAMAGIRI, elle a commandé un escorteur du groupe-école en 2013.

Il y a environ 2 400 femmes parmi les 42 000 membres de la Force Maritime d’Autodéfense. Parmi elles, 10 servent sur le YAMAGIRI. Dont le commandant.
 

Le premier qui dit que le féminin de capitaine de vaisseau c'est capitaine de vaisselle aura affaire à 青いダリア.

Takagi a écrit:

Le lundi 29 février 2016, le capitaine de vaisseau Otani Miho […].
C’est la première femme à commander un grand bâtiment de combat de la Force Maritime d’Autodéfense. […] : salut:
Le premier qui dit que le féminin de capitaine de vaisseau c'est capitaine de vaisselle aura affaire à 青いダリア.

 Sans aucun doute !

Citation :

2400 femmes pour 42 000
ça fait du 5,2 %
c'est pas mal pour un pays de machos…

Et ça n'est que le début (de la montée en puissance !).

Ça nous ramène à un sujet traité il y a longtemps mais aujourd'hui qu'elle est le pourcentage de femmes dans la marine nationale?

Takagi a écrit:

Le premier qui dit que le féminin de capitaine de vaisseau c'est capitaine de vaisselle aura affaire à 青いダリア.

Comment ça, on dit des vaissals?

Une p'tite vidéo sur la prise de commandement de la dame :


Personnellement, j'apprécie plus la parfaite diction du commentateur que la vivacité des séquences vidéo, mais c'est une appréciation personnelle...

Takagi a écrit:

Une p'tite vidéo sur la prise de commandement de la dame :

Personnellement, j'apprécie plus la parfaite diction du commentateur que la vivacité des séquences vidéo, mais c'est une appréciation personnelle… : DD

… que nous ne pouvons que partager… deux photos figées, en tout et pour tout, c'est d'un dynamisme rare.
La toute dernière image (en noir et blanc) montre un bonhomme à lunette… serait-ce lui, le commentateur ?

DahliaBleue a écrit:

La toute dernière image (en noir et blanc) montre un bonhomme à lunette… serait-ce lui, le commentateur ?

Je suppose que oui. Je n'ai pas l'heur de connaître ce monsieur.

Trois unités de la force Maritime d’Autodéfense sont prévues faire une escale dans la base navale de Subic Bay près de Manille au mois d’avril 2016 : deux escorteurs et un sous-marin.

Le groupe appareillera du Japon à la mi-mars et passera par le canal de Bashi qui sépare les Philippines de Taiwan. L’arrivée à Subic Bay est prévue dans les premiers jours d’avril. La sortie sera ponctuée d’exercices. Le sous-marin qui y participera n’est plus opérationnel, il a été reclassé comme navire-école ; il s’agit soit de l’OYASHIO soit de l’ASASHIO. À son bord, il y aura plusieurs jeunes officiers sous-mariniers en formation.


La dernière escale d’un sous-marin japonais aux Philippines remonte à 15 ans.

Le ministère de la Défense précise qu’il n’est pas question que le groupe s’approche à moins de 12Nq des îles occupées par la Chine. Il n’est pas question non plus que cette mission soit le prémisse de patrouilles japonaises en mer de Chine méridionale.

Citation :

Trois unités de la force Maritime d’Autodéfense sont prévues faire une escale dans la base navale de Subic Bay près de Manille au mois d’avril 2016 : deux escorteurs et un sous-marin. […] […] Il n’est pas question non plus que cette mission soit le prémisse de patrouilles japonaises en mer de Chine méridionale.
: pompom:

Donc, plutôt les « prémices […] »… Mais ça se discute, me semble-t-il…
(Ah ! ce Grevisse ! )

Le mercredi 2 mars 2016, deux navires de la 51^e division de chasseurs de mines de la Force Maritime d’Autodéfense sont arrivés en escale à Manille dans les Philippines. Il s’agit du navire-base de chasseurs de mines URAGA (5500 t.,  n° de coque 463) et du chasseur TAKASHIMA (classe HIRASHIMA, 570t., n°603). Ils y resteront trois jours. Des visites ont été organisées pour des délégations philippines.

Le brise-glace SHIRASE de la Force Maritime d’Autodéfense, actuellement en mission entre le cap de Bonne Espérance et l’Antarctique, s’est dérouté pour porter assistance à son homologue australien AURORA AUSTRALIS qui s’est échoué sur un récif près de Horseshoe Harbour après avoir rompu ses amarres dans une tempête le mercredi 2 mars 2016. L’AURORA AUSTRALIS, après avoir débarqué l’équipe de 37 scientifiques qui étaient à bord, a réussi à se dégager et ne semble pas avoir subi de trop gros dégâts à sa coque. Sa propulsion et son appareil à gouverner n’ont pas été touchés. Mercredi soir, il a pu entamer son voyage retour vers l’Australie qu’il devrait atteindre en fin de semaine prochaine.


Le SHIRASE devrait arriver sur zone le 6 mars et accompagner son congénère pour pouvoir lui porter assistance en cas de besoin. La destination finale de l’AURORA AUSTRALIS n’est pas encore connue : les Australiens s’emploient à trouver un chantier naval qui puisse l’accueillir en cale sèche.

Il ne restera plus à l’Australian Antarctic Division qu’à organiser le rapatriement des scientifiques.

Le destroyer MYŌKŌ (DDG 175) vient de participer à l’exercice américano-japonais FST-J 16-71 depuis la base navale de Yokosuka.


L’exercice se déroulait à quai : FST-J signifie Fleet Synthetic Training – Joint. Il s’agissait d’interconnecter plusieurs unités disposées en différents endroits : le USS SHILOH (CG 67) et le MYŌKŌ à Yokosuka, le USS CURTIS WILBUR (DDG 54) à Sasebo, diverses unités de la Force Terrestre d’Autodéfense et de la Force Aérienne d’Autodéfense dont des AWACS. Le thème de l’exercice était la défense antimissile balistique et le but était de vérifier la capacité de toutes les unités à échanger des données à très haut débit pour reconstituer l’ensemble du théâtre à partir des différents senseurs et de modèles numériques du terrain, et de tester les procédures tactiques. La conjugaison des trajectographies effectuées depuis plusieurs endroits améliore considérablement la précision de la poursuite des objets balistiques et minimise l’effet antiradar de leur forme furtive puisque certains radars illuminent les cibles de profil et non de face.

Pour corser l’exercice, l’interception antibalistique a été simulée sous menace aérienne, de surface et sous-marine, histoire de voir si les échanges de données restent techniquement possibles en ambiance réelle, c’est-à-dire alors que les systèmes d’échange automatique de données entre navires fonctionne déjà à plein.

Takagi a écrit:

Le brise-glace SHIRASE de la Force Maritime d’Autodéfense, actuellement en mission entre le cap de Bonne Espérance et l’Antarctique, s’est dérouté pour porter assistance à son homologue australien AURORA AUSTRALIS qui s’est échoué sur un récif près de Horseshoe Harbour après avoir rompu ses amarres dans une tempête le mercredi 2 mars 2016. L’AURORA AUSTRALIS, après avoir débarqué l’équipe de 37 scientifiques qui étaient à bord, a réussi à se dégager et ne semble pas avoir subi de trop gros dégâts à sa coque. Sa propulsion et son appareil à gouverner n’ont pas été touchés. Mercredi soir, il a pu entamer son voyage retour vers l’Australie qu’il devrait atteindre en fin de semaine prochaine.
(...)
Le SHIRASE devrait arriver sur zone le 6 mars et accompagner son congénère pour pouvoir lui porter assistance en cas de besoin. La destination finale de l’AURORA AUSTRALIS n’est pas encore connue : les Australiens s’emploient à trouver un chantier naval qui puisse l’accueillir en cale sèche.

Il ne restera plus à l’Australian Antarctic Division qu’à organiser le rapatriement des scientifiques.

En fin de compte, c'est le SHIRASE qui va rapatrier les scientifiques. Ce samedi 5 mars, il a touché la base Mawson pour embarquer l'équipe et l'emmener à la base Casey où l'A319 de l'Australian Antarctic Division viendra les chercher pour les rapatrier en Australie. Ils devraient être rentrés chez eux entre le 13 et le 20 mars, en fonction de la météo.

Poursuivant leur périple, le navire-base URAGA et le chasseur de mines TAKASHIMA sont arrivés à Port Klang, principal port de Malaisie sur le détroit de Malacca, au matin du samedi 12 mars 2016. Ils avaient quitté les Philippines il y a neuf jours.

Quelque trois cents expatriés japonais s’étaient réunis pour les voir accoster (photo).


L’URAGA et le TAKASHIMA vont rester trois jours en escale pour ravitaillement. Ensuite ils appareilleront pour Bahreïn pour participer à l’exercice International Mine Countermeasures Exercise 2016.

En avril 2016, un détachement de la Force Maritime d’Autodéfense participera à un exercice avec la Royal Australian Navy et la Royal Australian Air Force. Il comprendra deux destroyers, deux hélicoptères ASM et le sous-marin Hakuryū (SS-503, classe SŌRYŪ).


Au programme : exercices ASM, lutte antisurface depuis le sous-marin, pratique des communications et des transmissions de données, PHOTEX, etc. L’exercice n’est pas sans arrière-pensée commerciale : le gouvernement japonais espère bien décrocher le marché du remplacement des sous-marins australiens de la classe COLLINS. Selon l’Australian Strategic Policy Institute, le but des Japonais dans l'exercice du mois prochain est clairement de montrer les aptitudes des SŌRYŪ au pistage d’une force navale et à échapper lui-même au pistage grâce à sa grande discrétion et ses qualités manœuvrières en plongée.

Le gouvernement japonais s’est beaucoup investi dans ce contrat, qui pourrait être le premier grand contrat d’export d’armement de l’industrie japonaise depuis 1945.

Les concurrents des SŌRYŪ sont le français DCNS et l’allemand TKMS. Le 9 avril 2014, le ministre australien de la Défense, David Johnston, s’était dit « extrêmement impressionné » par les possibilités des SŌRYŪ pour remplacer les COLLINS.

Takagi a écrit:

Trois unités de la force Maritime d’Autodéfense sont prévues faire une escale dans la base navale de Subic Bay près de Manille au mois d’avril 2016 : deux escorteurs et un sous-marin.

Le groupe appareillera du Japon à la mi-mars et passera par le canal de Bashi qui sépare les Philippines de Taiwan. L’arrivée à Subic Bay est prévue dans les premiers jours d’avril. La sortie sera ponctuée d’exercices. Le sous-marin qui y participera n’est plus opérationnel, il a été reclassé comme navire-école ; il s’agit soit de l’OYASHIO soit de l’ASASHIO. À son bord, il y aura plusieurs jeunes officiers sous-mariniers en formation.

(...)

La dernière escale d’un sous-marin japonais aux Philippines remonte à 15 ans.

Le ministère de la Défense précise qu’il n’est pas question que le groupe s’approche à moins de 12Nq des îles occupées par la Chine. Il n’est pas question non plus que cette mission soit le prémisse de patrouilles japonaises en mer de Chine méridionale.

Quelques détails ont été publiés le 15 mars : le sous-marin est l'OYASHIO (TS-3608), les escorteurs sont le SETOGIRI (DD-156, classe ASAGIRI) et l'ARIAKE (DD-109, classe MURASAME). Après l'escale à Subic Bay, les deux escorteurs iront faire une autre escale à Cam Ranh (Vietnam).

Le 15 mars 2016, le ministère de la Défense a annoncé que les femmes pourront désormais embarquer sur les bâtiments de chasse aux mines et sur les patrouilleurs rapides lance-missiles. Jusqu'ici, elles ne pouvaient le faire que sur des bâtiments plus gros.
Dans la Force Maritime d'Autodéfense, il ne reste que les sous-marins à ne pouvoir avoir que des équipages entièrement masculins.

Quatre destroyers de la Force Maritime d’Autodéfense ont participé ces derniers jours à l’exercice bilatéral américano-japonais Multi-Sail 2016 (MS-16 en abrégé) autour de Guam.

Il s’agissait des AMAGIRI (DD 154), HARUSAME (DD 102), KIRISHIMA (DDG 174) et KURAMA (DDH 144). Avec, du côté américain, cinq destroyers de la classe ARLEIGH BURKE et un croiseur de la classe TICONDEROGA venus du Japon, le nombre total de navires de combat à faire escale à Apra le 4 mars 2016 était de 10 – le plus fort nombre de ces 30 dernières années. Deux sous-marins nucléaires d’attaque, quelques navires et des moyens aériens, habituellement basés à Guam, ont complété le dispositif.


Le thème de l’exercice était, comme d’habitude, d’améliorer l’habitude à travailler en binational : détection, signalement, pistage, chasse et engagement d’un intrus maritime ou aérien par une force binationale dans un contexte aussi réaliste que possible. Multi-Sail est une des rares opportunités qu’ont les deux marines de s’entraîner à réagir rapidement et à gérer les priorités. Il leur a aussi permis de s’entraîner à la « létalité distribuée » (Distributed Lethality) qui consiste à faire s’épauler mutuellement les navires qui sont pourtant éloignés les uns des autres. Plus qu’une somme d’entraînements individuels, il s’agissait de l’entraînement d’un système de force.


Une deuxième escale à Apra en fin d’exercice a permis à la base navale de vérifier qu’elle était capable de soutenir un groupe naval conséquent.

Puis, le 14 mars, les visiteurs s’en sont retournés au pays du Soleil Levant.