Porte-avions US

Loïc Charpentier a écrit:

pascal a écrit:

çà c'est de la puissance !

... et un grand coup de pouce de l'Histoire pour, enfin, parvenir à surmonter les effets de "la Grande Dépression", qui avait frappé les USA, entre 1929 et 1939.

Les commandes franco-anglaises en 1939/40 ont bien aidé également notamment dans l'Aéronautique

clausewitz a écrit:

Loïc Charpentier a écrit:

pascal a écrit:

çà c'est de la puissance !

... et un grand coup de pouce de l'Histoire pour, enfin, parvenir à surmonter les effets de "la Grande Dépression", qui avait frappé les USA, entre 1929 et 1939.

Les commandes franco-anglaises en 1939/40 ont bien aidé également notamment dans l'Aéronautique

Nous sommes dans le cadre!

Février 1942 en Atlantique Nord : on déneige le pont du WASP.


L'hydravion est un Grummann J2F Duck. Il est disponible sur le pont comme appareil de sauvetage en mer pour le cas où un homme tomberait à la mer depuis un des navires du convoi que le Wasp escorte. S'il doit décoller, il faut dégager les avions qu'on voit sur l'avant du pont.

à l'Américaine ! on déneige oui mais au Tracma s'il vous plaît ! Les USA sont la patrie de l'automobile

(2021) Le géant résiste…


… à Newport News (Va)

On identifie bien l'emplacement des réacteurs

david a écrit:

On identifie bien l'emplacement des réacteurs

bien vu

david a écrit:

On identifie bien l'emplacement des réacteurs

pascal a écrit:

[…] bien vu : thumleft:

Judicieuse observation ! Sans y réfléchir, je mettais ces traces sur le compte des pneus (choc à l'appontage) ; alors que ça doit effectivement correspondre à la mise plein gaz.

david a écrit:

On identifie bien l'emplacement des réacteurs

pascal a écrit:

bien vu

DahliaBleue a écrit:

Judicieuse observation ! Sans y réfléchir, je mettais ces traces sur le compte des pneus (choc à l'appontage) ; alors que ça doit effectivement correspondre à la mise plein gaz.

Je ne sais pas si c'est une réflexion, mais je me disais que c'était les traces rouillées de choc des crosses d'appontage, dans l'axe de la piste oblique et en plein dans la zone des câbles de freinage. Je ne vois pas pourquoi les réacteurs crameraient le pont à cet endroit.

david a écrit:

On identifie bien l'emplacement des réacteurs

David ne parlait-il pas des réacteurs nucléaires ?

Il y a confusion en effet, les réacteurs nucléaires dont on parle, sont les 8 carrés en quinconce, groupés par 2 dans l'axe du bâtiment, au milieu du pont d'envol.
Rien à voir avec les avions donc !

Nous sommes bien d'accord il s'agit bel et bien des 8 brèches d'extraction des 8 réacteurs A2W.
Dahlia est fâchée avec les pistes obliques et les zones de brins quand elle ne veut pas couper elle brûle ... cette personne a un petit côté inquiétant.

La zone noirâtre sur la piste oblique correspond aux traces de gomme laissées par les pneus ainsi qu'au raclement des crosses.

Piégée la dame ! Gageons qu'elle ne restera pas sans ..... réaction !!

pascal a écrit:

Nous sommes bien d'accord il s'agit bel et bien des 8 brèches d'extraction des 8 réacteurs A2W.
Dahlia est fâchée avec les pistes obliques et les zones de brins quand elle ne veut pas couper elle brûle ... cette personne a un petit côté inquiétant.

La zone noirâtre sur la piste oblique correspond aux traces de gomme laissées par les pneus ainsi qu'au raclement des crosses.

Alors c'est bien mon interprétation première. Dont acte.  

Encore une fois, on observera que l'appontage est une opération menée sur un espace une surface très courte et très étroite : ~60 m sur ~10.

JJMM a écrit:

Piégée la dame ! Gageons qu'elle ne restera pas sans ..... réaction !! : lol!:

Réaction :

DahliaBleue a écrit:

pascal a écrit:

Nous sommes bien d'accord il s'agit bel et bien des 8 brèches d'extraction des 8 réacteurs A2W.
Dahlia est fâchée avec les pistes obliques et les zones de brins quand elle ne veut pas couper elle brûle ... cette personne a un petit côté inquiétant.

La zone noirâtre sur la piste oblique correspond aux traces de gomme laissées par les pneus ainsi qu'au raclement des crosses.

Alors c'est bien mon interprétation première. Dont acte.  

Encore une fois, on observera que l'appontage est une opération menée sur un espace une surface très courte et très étroite : ~60 m sur ~10.

JJMM a écrit:

Piégée la dame ! Gageons qu'elle ne restera pas sans ..... réaction !! : lol!:

Réaction :

D'où la présence de seulement 3 ou 4 brins d'arrêt (sur la photo, il semble en manquer un, secours ?) et non pas 8 ou 10... ou plus exactement, l'appontage pouvant être plus précis maintenant, on peut réduire le nombre de brins... Ce qui dans les deux cas reduit évidemment la surface de onctact mais ne permet pas de réduire la longueur de pont puisque suivant la masse de l'appareil qui se pose, le brin s'allonge jusqu'à l'arrêt de l'appareil... ou plouf...

Citation :

[…] D'où la présence de seulement 3 ou 4 brins d'arrêt (sur la photo, il semble en manquer un, secours ?) […]

Il en manque un : le numéro #1, d'ailleurs, apparemment démonté/débarqué bien avant les autres (car les autres ne sont plus là non plus : seules leurs traces sont visibles - traces de quoi, d'ailleurs ? usure, dépôt de graisse ?)

Citation :

[…] seulement 3 ou 4 brins d'arrêt […] et non pas 8 ou 10… ou plus exactement, l'appontage pouvant être plus précis maintenant, on peut réduire le nombre de brins… […]

Clairement, oui. L'appontage n'est pas un atterrissage ; c'est presque un crash contrôlé et précis.

Citation :

[…] Ce qui dans les deux cas réduit évidemment la surface de contact mais ne permet pas de réduire la longueur de pont puisque suivant la masse de l'appareil qui se pose, le brin s'allonge jusqu'à l'arrêt de l'appareil… ou plouf…

Effectivement, la (grande) longueur du pont oblique permet surtout d'arrêter l'appareil plus en douceur (avec moins de "g").
Inversement un pont très court (genre de celui des ESSEX) impose une décélération plus énergique.
Un pont court n'impose pas au pilote une dextérité supérieure : son seul objectif - c'est le cas de le dire - c'est de viser l'axe du pont et la pente de descente donnée par l'optique.
Un pont long lui procure un ralentissement plus confortable.

DahliaBleue a écrit:

Citation :

[…] D'où la présence de seulement 3 ou 4 brins d'arrêt (sur la photo, il semble en manquer un, secours ?) […]

Il en manque un : le numéro #1, d'ailleurs, apparemment démonté/débarqué bien avant les autres (car les autres ne sont plus là non plus : seules leurs traces sont visibles - traces de quoi, d'ailleurs ? usure, dépôt de graisse ?)  

Citation :

[…] seulement 3 ou 4 brins d'arrêt […] et non pas 8 ou 10… ou plus exactement, l'appontage pouvant être plus précis maintenant, on peut réduire le nombre de brins… […]

Clairement, oui. L'appontage n'est pas un atterrissage ; c'est presque un crash contrôlé et précis.

Citation :

[…] Ce qui dans les deux cas réduit évidemment la surface de contact mais ne permet pas de réduire la longueur de pont puisque suivant la masse de l'appareil qui se pose, le brin s'allonge jusqu'à l'arrêt de l'appareil… ou plouf…

Effectivement, la (grande) longueur du pont oblique permet surtout d'arrêter l'appareil plus en douceur (avec moins de "g").
Inversement un pont très court (genre de celui des ESSEX) impose une décélération plus énergique.
Un pont court n'impose pas au pilote une dextérité supérieure : son seul objectif - c'est le cas de le dire - c'est de viser l'axe du pont et la pente de descente donnée par l'optique.
Un pont long lui procure un ralentissement plus confortable.  

Une piste oblique plus longue permet de ramasser des avions plus lourds c'est pour cette raison que le Tomact ne fut jamais embarqué sur les Midway et que (de mémoire) le Phantom ne fut jamais embarqué sur les Essex qui se contentaient du Crouze

Citation :

[…] Une piste oblique plus longue permet de ramasser des avions plus lourds […]

… pour une résistance des brins donnée et à décélération identique. Bien sûr.

Citation :

[…] c'est pour cette raison que le Tomcat ne fut jamais embarqué sur les Midway et que (de mémoire) le Phantom ne fut jamais embarqué sur les Essex qui se contentaient du Crouze

D'accord  
Mais peut-être pas seulement pour une question de masse (maximale).
Car les ESSEX (d'attaque CVA) et les MIDWAY (à plus forte raison) embarquaient (et mettaient en œuvre) des A-3, bien plus lourds que les F-4 et même que les F-14.


Restait cependant pas beaucoup de place sur le pont d'envol :
Dans des temps plus anciens, les AJ Savage étaient moins lourds, mais bien encombrants aussi :

le Wasp et le Ticonderoga ont bénéficié de refontes SCB-27 A et C (pour le second) seul ce dernier a de mémoire reçu des C11 à vapeur capacité 32 t
Je ne connais pas la masse maxi autorisée à l'appontage des A-3

pascal a écrit:

le Wasp et le Ticonderoga ont bénéficié de refontes SCB-27 A et C (pour le second) seul ce dernier a de mémoire reçu des C11 à vapeur capacité 32 t […]

Très juste : c'est pas le tout de pouvoir les apponter ; faut aussi pouvoir les lancer ; et, logiquement, à une masse encore supérieure.

Citation :

[…] Je ne connais pas la masse maxi autorisée à l'appontage des A-3

… moi non plus .

DahliaBleue a écrit:

pascal a écrit:

le Wasp et le Ticonderoga ont bénéficié de refontes SCB-27 A et C (pour le second) seul ce dernier a de mémoire reçu des C11 à vapeur capacité 32 t […]

Très juste : c'est pas le tout de pouvoir les apponter ; faut aussi pouvoir les lancer ; et, logiquement, à une masse encore supérieure.

Citation :

[…] Je ne connais pas la masse maxi autorisée à l'appontage des A-3

… moi non plus   .

les flottes de combats de 1964 donnent 33 tonnes comme poids max. les chefs avias devaient avoir quelques sueurs froides lors de certains lancements

david a écrit:

[…] les flottes de combat de 1964 donnent 33 tonnes comme poids max. les chefs avia devaient [avoir] quelques sueurs froides lors de certains lancements

Surtout quand on se souvient du surnom de ces A3D

Et je ne parle pas de The Whale !

Le SARATOGA (CV-3) le 7 avril 1925, jour de son lancement à Camden dans le New Jersey.

Le pigeonnier du Langley à ses débuts :



A cette époque, la plupart des gros navires américains avaient des pigeons voyageurs, plus fiables que la radio pour communiquer avec la terre. Les pigeonniers ont été supprimés dans les années 1920. Sur le Langley, ils ont été remplacés par des cabines et des logements pour les officiers.
Puisque les officiers-mariniers de la marine française sont surnommés "les bœufs" depuis que les parcs à bœufs vivants ont été remplacés par les logements des seconds-maîtres, les officiers américains étaient-ils surnommés "les pigeons" ?


Notons qu'il semblait y avoir un code de couleurs pour les cages du pigeonnier : elles n'étaient pas toutes de la même couleur.

Original, j'ignorais ce fait.