[Aviation] Drones & Drones de Combat Chinois

Les drones sont utilisés dans la protection de l'environnement à Lanzhou



Les sauveteurs ont utilisés les drones pour ravitailler les personnes coincés à cause de la forte pluie à Guilin



La démonstration en vol des drones dans le 13ème salon international des produits agricoles en Chine



La ville de Chongqing utilise les drones dans la gestion du feu de forêt



Henri K.

La police de transport de la ville de Wuhan commencer à s'équiper des drones.



Henri K.

L’Institut 611 de Chengdu, le même qui conçoit les programmes FC-1, J-10, J-20, et les drones Wing Loong et Soar Dragon, présente la maquette du successeur de Wing Loong, Wing Loong II.

Avec le succès commercial du programme Wing Loong, qui compte parmi ses clients l'armée de l'air chinoise, les Émirats arabes unis ou encore l'Ouzbékistan par exemple, Wing Loong II sera plus grand et avec une charge d'emport accrue.

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Henri K.

En Octobre, une société privée à Xinjiang s'est payée une amende de 20 000 yuan pour ne pas avoir respecté la réglementation de survol des drones.



Début Novembre, l'armée de l'air chinoise a mis à terre un drone dans la province de Hebei qui appartient à une société Pékinoise, le drone a presque entré en collision avec un hélicoptère de l'armée. La société sera poursuivie en justice la même raison que le cas à Xinjiang.



On voit dans cette vidéo prise par un drone civil qui volait à 500 m d'un avion de combat qui allait se poser.



Quelques drones civils exposés actuellement à Shenzhen



L'ingénieur en chef du programme MALE CH-5 du groupe CASC a répondu à un interview dans lequel il a donné des détails intéressants sur ce MALE, évolué depuis le modèle CH-4 qui est utilisé par exemple par l'armée Irakienne :

* Avec une MTOW de plus de 3t, son envergure est de 20 m, le plafond de vol peut atteindre les 10 000 m.
* la version d'export aura une capacité d'emport limitée à 480 kg, et de 800 à 900 kg pour la version interne.
* l'autonomie actuelle est de 40h, un upgrade est prévu pour étendre cette durée à 100h

http://mil.huanqiu.com/observation/2015-11/8000111.html



Henri K.

L'entité CAAA (China Academy of Aerospace Aerodynamics) du groupe aérospatial chinois CASC continue ses offensifs dans le domaine de drone. Selon l'annonce officielle diffusée lors de la Second China Hebei military and civilian integration Achievements Exhibition Fair qui a lieu actuellement, CAAA exporte chaque année environ 200 drones à l'étranger, sa famille de drones CH-x compte plus de 20 clients répartis dans une dizaine de pays.

Aujourd'hui CAAA a une capacité de production annuelle de 200 petits drones et 40 drones MALE de type CH-4 depuis sa base de production située à Tianjin. Elle vient de signer un accord avec le gouvernement local du district de Gu'an pour construire un nouveau site de production, qui permet d'augmenter sa capacité de production à 150 drones MALE par an, et plus de 1 000 missiles Air-Sol dédiés aux drones.

CH-3, un petit drone d'une envergure de 8 m, avec une autonomie de 12 h et une capacité d'emport de 180 kg

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CH-4, un MALE qui compte par exemple l'armée irakienne parmi ses clients. Le drone a une autonomie maximum de 40h et est capable d'emporter 4 missiles Air-Sol AR-1 ou 330 kg de charge utile, avec un plafond de croisière à 7 000 m.

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CH-5, un MALE en cours de développement depuis le modèle CH-4. Si son autonomie maximale reste la même que CH-4, sa capacité d'emport est augmentée jusqu'à 800 kg et est capable d'emporter jusqu'à 12 missiles AR-1.

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Henri K.

Le 1er Décembre 2015, le premier drone amphibie chinois U650 conçu par la société Shanghai UVS Intelligence System Co., Ltd a effectué son vol inaugural avec succès.

http://www.cannews.com.cn/2015/1208/142141.shtml

A 14h30 heure locale, le drone a décollé sur mer en mode autonome, et s'est posé après 30 min de vol suivant la trajectoire pré-programmée.

En pleine carburant, l'U650 a une autonomie de 15h / 2 000 km et est capable d'emporter 150 kg de charges utiles. Doté d'une liaison de satellites, il peut effectuer des missions de surveillance au delà de la portée de la radio avec sa boule optronique et son radar SAR.





Henri K.

Selon un article publié au mini-blog du groupe aérospatial CASC, l'équipe d'essai du drone MALE CH-4 de la CAAA (China Academy of Aerospace Aerodynamics) a terminé récemment une série de tirs d'essai avec succès.

http://mp.weixin.qq.com/s?__biz=MjM5Njc4ODY1MQ==&mid=401179338&idx=1&sn=b886a909c042f21851f83ef166dc4e4c&scene=0#wechat_redirect

Pendant la campagne de 3 jours, le MALE a volé 7 fois et a lancé 14 missiles et bombes.

Les essais ont pour but de vérifier la précision des différents armements et la fiabilité de la bombe à fragmentation, lancés entre 4 000 et 5 500 m d'altitude.

Les résultats montrent que les bombes guidées ont atteint une précision de CEP 0,8 m, et celle des bombes lisses est < 18 m avec un minimum atteint à 8 m. Les bombes à fragmentation spéciales ont également couvert les cibles avec précision.

Selon l'article, ces essais ont confirmé l'avancement du dernier développement de l'entité CAAA dans le domaine de la conception "Design in Cost" des armements de drone, la projection balistique de précision, et la conduite de tir avancée.





Henri K.

Voici une vidéo d'une attaque Air-Sol à Ramadi qui serait lancée par un drone MALE CH-4B d'origine chinois de l'armée irakienne.



Cette vidéo a été mise sur Live Leak récemment, et les commentaires sont déjà nombreux : http://www.liveleak.com/view?i=888_1449671060

Comme je doute que l'Irak ait acheté la liaison de satellite avec ces drones ou que les Chinois , sa base d'attache devrait se trouver dans un rayon de 200 km.

Après avoir analysé les 37 bases aériennes irakiennes et éliminé celles qui sont abandonnées, on constate que dans le cercle de 200 km autour de la ville de Ramadi on a 4 bases possibles, mais Al Asad est au combat actuellement si je ne me trompe pas, Samarra East est occupée par les Américains aux dernières nouvelles, il reste la possibilité de Baquba et Rasheed. Personnellement je pencherai plus à Rasheed mais à confirmer.

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Une ancienne vidéo de CH-4B irakien :



Photos de CH-4B sous la couleur irakienne :

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Henri K.

La société chinois DJI qui détient plus de 70% du marché mondial des drones grand publique, vient de mettre à disposition une plateforme de contrôle Open Source qui permet de surveiller et homologuer tous les vols de drones.

La plateforme met en relation les autorités et les utilisateurs de drone en quelques clics : L'utilisateur télécharge son plan de vol en ligne sur cette plateforme pour que les autorités puissent le valider en espace de quelques minutes. Une fois le plan de vol homologué, si le drone dépasse son plan de vol prévu ou cause des dégâts à un tier, l'utilisateur perdra le contrôle du drone et la plateforme fera poser le drone à un point initial, et avertira les services compétents.

Cette plateforme Open Source est aussi compatible à tous les drones qui ne sont pas de marque DJI, et vise à réguler des vols de drone de plus en plus nombreux en Chine.



Le vol inaugural du drone amphibie U650



Dans le district de Wujiang de la ville de Suzhou, l'inspection des lignes de haute tension est faite désormais avec les drones.



Les sapeurs pompiers de Qingdao utilisent les drones dans un exercice de lutte contre l'incendie



Henri K.

Une vidéo qui montre les tirs d'essai de bombe guidée par GPS ou Beidou de 50 kg, et de bombe à fragmentation CS/BBE2 de 50 kg, larguées par un drone MALE CH-4.



Ces 2 types d'armement sont dédiés à l'export.



Henri K.

A part l'Iraq qui commence à utiliser les drones chinois dans les frappes contre l'Etat Islamique, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont eux aussi opéré des drones chinois au dessus du Yémen, selon Jane's.

Mais contrairement à ce qu'il est marqué dans l'article, ce n'est probablement pas un CH-4 du groupe aérospatial CASC comme en Iraq, mais un Wing Loong du groupe aéronautique AVIC, le même modèle qu'a été choisi par l'armée de l'air chinoise.

UAE, Saudi Arabia operating Chinese UAVs over Yemen

Citation :

Jeremy Binnie, London - IHS Jane's Defence Weekly
17 December 2015



Saudi Arabia and the United Arab Emirates (UAE) have both acquired Chinese-made unmanned aerial vehicles (UAVs) to meet urgent operational requirements arising from their military intervention in Yemen, it was revealed during a panel discussion held by the Atlantic Council think tank on 8 December.

"The drones the UAE is using in Yemen are Chinese because they failed to get US approval," US Marine Corps General (retired) James L Jones said. Gen Jones served as National Security Advisor in 2009-2010 and is now affiliated with the Atlantic Council.

Nawaf Obaid, a former advisor to the Saudi ambassadors to the United Kingdom and the United States, immediately added "that is true, us too", indicating Saudi Arabia has also acquired Chinese UAVs because it could not obtain US ones.

"[The UAVs are] an example of things we could have done, but we didn't do, and now people who are more agile have been able to send drones to the UAE," Jones said. "We have a serious problem in the way and the speed with which we come to the aid of our friends and allies with equipment."

The third member of the panel, Barry Pavel, the director of the Atlantic Council's Scowcroft Center, agreed, saying, "All our Gulf partners want US weapons, they are the best in the world … but it is a really, really difficult process [to obtain them]. If you can't get that wonderful jewel on the shelf, but you can get fake jewellery that still does the job, you are going to start to go in that direction because you are in active operations and you need this equipment."

"We need to get our act together, streamline and make our processes more effective," Pavel added.

When asked about the problems in the US arms export process, Jones identified the end-use monitoring agreements system as "something that most of our allies really dislike".

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Henri K.

L'utilisation de plus en plus répandue des drones armés chinois à l'extérieur commence à réveiller les journalistes grand public...

Ici un article de New York Times datant il y a 3 jours :

Use by Iraqi Military May Be a Boon for China-Made Drones

Citation :

By PATRICK BOEHLER and GERRY DOYLEDEC. 17, 2015


A CH-4 unmanned aerial vehicle at the 9th China International Aviation and Aerospace Exhibition in 2012. Credit Liu Dawei/Xinhua, via AFP

HONG KONG — After more than a decade of fighting in Iraq, the names of the American-made drones striking targets there have become familiar: Predator, Reaper, Sentinel.

But this month, a new model entered the fray: the Chinese-made Caihong-4.

According to footage released by the Iraqi armed forces, soldiers used the Chinese drone on Dec. 6 to destroy an ISIS position amid efforts to retake the city of Ramadi. A spokesperson for the Ministry of Defense confirmed the video was real.

The lethal strike represents a major step forward in China’s drive to become a leading exporter of military equipment, experts say. Iraq is the only known export user of the drone, also known as the CH-4, which closely resembles the General Atomics MQ-9 Reaper.

Its first use in combat may be a selling point for potential buyers.

“This is the first time I’ve heard of a Chinese drone, such as the CH-4 (which is basically a clone of the Reaper), reporting an actual kill, and I suppose it would be cliché to say that it won’t be the last,” Richard A. Bitzinger, a senior fellow at the S. Rajaratnam School of International Studies at Nanyang Technological University in Singapore, wrote in an email on Wednesday.

Mr. Bitzinger estimated that Iraq’s armed forces had to buy six to 12 Chinese drones to conduct operations efficiently.

“When the Iraqi MoD officially unveiled them in October, two ground control stations could be seen,” Jeremy Binnie, Middle East/Africa editor at IHS Jane’s Defence Weekly, wrote in an email, referring to the Ministry of Defense. “Given a typical setup of two aircraft per control station, Iraq probably has at least four.”

China also uses the CH-4. Its predecessor, the CH-3, has been sold to both Nigeria and Pakistan, he said.

Last year, China became the world’s third-largest arms exporter, behind the United States and Russia, according to the Stockholm International Peace Research Institute, a think tank in Sweden. China’s defense companies have been working hard to export higher-end systems — like drones, air defense systems and even stealth fighters — but with few successes so far.

The CH-4, whose name translates as “Rainbow,” is manufactured by the Beijing-based China Aerospace Science and Technology Corporation, a state-owned enterprise group. The drone “represents China’s research and production of drones march toward the world,” according to a news article from 2014 on the conglomerate’s website.

Calls and a fax sent to C.A.S.C. went unanswered.

The drone was first seen at an airshow in Beijing in 2013, according to China News Service. In March 2015, a state-run news agency said such drones had been handed to the Iraqi Air Force, citing Russian news reports. In October, Iraq’s defense minister inspected a Caihong drone at an air base in the city of Kut, according to a video shared by his ministry.

The CH-4 can strike from an altitude of about 16,000 feet and fly at up to 112 miles per hour, according to an article in China Space News, a publication run by C.A.S.C.

“What is clear is that the price of one Caihong-4 drone is much lower than the price of an advanced battle tank on the international arms market,” said the article, published in March.

The loss of a drone is “affordable even when military budgets are tight or in small countries,” it noted.

Chinese-built drones and aircraft are generally built to compete on price, experts say. Technological limitations mean the finished products do not often perform at the same level as their Western counterparts, but they are cheaper — and have far fewer restrictions on who can buy them.

“China is known to have difficulties in developing aero engine technology, and this is also true for UAV engines. As a result, Chinese UAVs are generally less capable in terms of performance,” Kelvin Wong, an Asia Pacific defense technology reporter with IHS, wrote in an email, referring to unmanned aerial vehicles.

As resources are scarce for Iraq’s armed forces, Chinese drones offer a fast alternative to allied air strikes, according to Jeffrey Lin and Peter W. Singer, who have traced reports of Chinese drone deployments in Iraq, Nigeria and Saudi Arabia.

“The long loiter time and precision weaponry of armed drones give small Iraqi units flexible and rapid response fire support to exploit sudden battlefield conditions,” they wrote in a blog post on on Tuesday.

Apart from the lower price of Chinese drones, restrictions imposed by the United States on the export of armed unmanned systems open a potentially lucrative market for Chinese manufacturers, Timothy R. Heath, a senior international defense research analyst with the RAND Corporation, wrote in an email.

“Considering the number of countries that have acquired or expressed interest in Chinese drones, the recent incident in Iraq in which a government uses Chinese armed drones to strike domestic insurgents may become more commonplace around the world,” he wrote.

Indeed, dozens of countries now manufacture reconnaissance drones, Mr. Bitzinger noted. And their use is all but expected on the modern battlefield.

“Now it appears that armed drones (Chinese, European, Iranian, Russian) are the next phase in this proliferation,” he wrote.

Vanessa Piao contributed reporting from Beijing, and Tim Arango from Istanbul.

Henri K.

Après une étude de 5 ans basée sur les données récoltées par les drones, les scientifiques à Shanghai ont déterminé le rôle contributeur que joue la couche d'inversion dans la formation de brume de pollution.



La police de Shenzhen déploie les drones équipés de détecteur de signaux de téléphone portable, pour tenter de localiser des endroits qui pourraient y avoir des survivants dans les glissements de terrain du 20 Décembre.



Selon des sources informelles chinoises, le drone HALE Xiang Long (Soar Dragon), ou EA-03, conçu par l'Institut 611 de Chengdu et qui est à l'origine un projet de la marine chinoise, s'apprête à entrer en service dans l'armée de l'air chinoise également.

Quelques vieilles photos de cet HALE :

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La maquette de Xiang Long dans un salon aéronautique :

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Quelques photos du prototype, qui est assez différent de la version de production de série :

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Henri K.

Nouvelle (??) photo...

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Henri K.

Exercice d'une brigade d'infanterie mécanisée du 21ème groupe d'armées :



La vidéo est intéressante car dans un passage je vois pour la première fois un drone largué par un blindé de reconnaissance (??) en mouvement. Pour le moment je n'ai pas encore réussi à identifier ce drone.

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Dans ma base je n'ai recensé que 5 types de petit drone pour l'armée de terre qui sont lançables à la main, il s'agit de :

* QU-1 de NORINCO

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* HW-110 et HW-110A de CASIC

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* CH-802 de CASC

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* CH-902 de CASC

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* ASN-217 de Xi'an Aisheng Technology Group

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Mais aucun ne correspond à celui qu'on voit dans la vidéo. Si quelqu'un a une idée, je suis preneur.

Henri K.

Toujours le même refrain, encore et encore...

Surtout l'auteur mentionne dans l'article : "There is no evidence the Chinese directly stole design information through cyber attacks against the Reaper manufacturer, General Atomics Aeronautical Systems, Inc.", qui contredit justement le titre de son propre article...

Qu'est-ce qu'on ne fait pas pour attirer l’œil dans ce milieu. Pathétique...

China’s armed drones appear built from stolen data from US cyber intrusions

Citation :

BY BILL GERTZ on DECEMBER 29, 2015 in ASIA TIMES NEWS & FEATURES, CHINA, AT TOP WRITERS, BILL GERTZ, THE CHINA CHALLENGE

China’s vibrant military blogosphere presented a video this month revealing a missile-firing unmanned aerial vehicle in action, dropping bombs against ground targets.

The Caihong-4, or CH-4, unmanned aerial vehicle (UAV) is a testament to the remarkable success of China’s military in copying vital high-technology weapons that currently are considered among the most cutting edge arms systems used in modern combat operations for both ground strikes and intelligence-gathering.

CH-4_ReaperThe one-minute, 37-second online posting shows takeoffs and landings of the drone. It was uploaded to the video-sharing website Youku Dec. 17. According to the blogger who posted it, the video was produced by 11th Academy of the China Aerospace Science and Technology Corporation, a drone developer and manufacturer.

The drone is shown launching two different types of bombs and the impact of their explosions on the ground. One is labeled a 50 kilogram, satellite-guided bomb and the second is an unguided CS/BBE2 50 kilogram aerial fragmentation bomb.

Photo analysis of the CH-4 shows the remote-controlled aircraft is very similar to the US military’s front-line combat UAV, the MQ-9 Reaper.

Both aircraft are about the same size and wing-span and both sport identical V-tails, landing gear, imaging pods and propeller-driven rear engines.

The only major difference is the Predator’s engine intake is located on top of the aircraft while the CH-4’s is underneath.

There is no evidence the Chinese directly stole design information through cyber attacks against the Reaper manufacturer, General Atomics Aeronautical Systems, Inc.

But in the words of a former National Security Agency director, retired Gen. Keith Alexander, the likelihood exists Beijing acquired drone designs and technology through cyber espionage. “There are two types of companies: those that have been hacked, and know it, and those that have been hacked and don’t know it,” Alexander said in a recent speech.

The Pentagon’s Defense Science Board warned in a 2012 report on automated defense systems that China was aggressively pursuing unmanned aircraft development and were “copying other successful designs” to speed up their drone programs. “The scope and speed of unmanned-aircraft development in China is a wake up call that has both industrial and military implications,” the report said.

China in 2012 lagged behind US drone programs but has “clearly leverage all available information on Western unmanned systems development.”

In three years since the report was published the Chinese have managed to close the gap with the United States on drone development.

Additionally, Chinese military writings also indicate Beijing is working to counter US drones by interrupting their communications links. The May 2015 issue of the technical journal “Winged Missiles,” published by the PLA’s Electrical Engineering Institute, discussed how its done.

“Detecting a UAV system’s remote link signals is important for countering UAVs,” the authors note.

On Dec. 1, another Chinese website, the social media outlet Tencent News, published a report on Chinese drones, including photos of the Gongji-1 attack drone, made by the Chengdu Aircraft Industry Group. Like the CH-4, the GJ-1 bears a striking resemblance to the Reaper. The report stated that the GJ-1 has been deployed with a PLA air force UAV unit in the Gobi desert since 2012. The report showed the remotely-piloted controls and command system used by the PLA to operate the drones.

Details of pervasive Chinese military cyber theft were revealed in classified documents made public by former NSA contractor Edward Snowden.

An undated briefing slide from around 2010 titled “Chinese Exfiltrate Sensitive Military Technology” reveals that Chinese hackers had conducted more than 30,000 cyber attacks, including more than 500 described as “significant intrusions in DoD systems.”

The attacks penetrated at least 1,600 network computers and compromised at least 600,000 user accounts. The damage was assessed as costing more than $100 million to gauge the damage and rebuild the networks.

The systems compromised included a range of commands and agencies, including the US Pacific Command, the US Transportation Command, the US Air Force, US Navy including missile navigation and tracking systems and nuclear submarine and anti-air missile designs.

In all the Chinese obtained an estimated 50 terabytes of data, an equivalent to five times the holdings of the US Library of Congress, the American national library considered the second largest library in the world with 23.9 million catalogued books.

Separate NSA briefing slides identified 13 separate Chinese cyber intelligence-gathering operations that NSA traced to the 3rd Department of PLA General Staff Department, the electronic military spying service known as 3PLA.

Most of the hacking operations that NSA described under the code name Byzantine Hades involved the targeting of defense information, defense contractors and weapons systems.

In its cyber spying, the Chinese were able to exploit Facebook to penetrate target computers. After fooling unwitting computer users into responding to emails linked to a Facebook post, the Chinese hackers were able to implant malicious software that gave them access to user accounts and ultimately to defense secrets.

Additionally, the military hackers used “hop points” – a computer that is taken over and used as a staging area for a targeted attack. Many of the hop points were in the United States as part of efforts to disguise the Chinese origin of the cyber attacks.

Drones are not the only aircraft compromised by Chinese cyber spies. NSA identified numerous compromises other aircraft, including the B-2 bomber, the F-22 jet and frontline F-35 Joint Strike Fighter – all targeted by 3PLA since the early 2000s.

The F-35 compromises were believed to have been carried out through a non-US subcontractor involved in development of the aircraft. The subcontractor was targeted in a Chinese cyber spying operation that obtained secrets on the advanced radar and engine designs – key radar-evading stealth features.

The F-35 losses were assessed by US intelligence agencies to have been incorporated into China’s new J-20 stealth fighter jet currently in development.

For the United States, large-scale Chinese cyber spying against American high-technology arms remains a strategic vulnerability.

US Deputy Defense Secretary Robert Work announced in early December that the next defense budget will include some $15 billion for begin funding what the Pentagon is calling its “Third Offset Strategy” – defenses designed to leverage American weapons technology advantages to offset increasingly lethal enemy military capabilities. A key element of the offset is to use autonomous weapons, like UAVs.

But if the Pentagon cannot protect its weapons know-how from the 3PLA and other foreign cyber spies its advantages are likely to quickly evaporate.

Bill Gertz is a journalist and author who has spent decades covering defense and national security affairs. He is the author of six national security books. Contact him on Twitter at @BillGertz

(Copyright 2015 Asia Times Holdings Limited, a duly registered Hong Kong company. All rights reserved. Please contact us about sales, syndication and republishing.)

Henri K.

La CAAC (Administration de l'aviation civile de Chine) met en application la réglementation expérimentale qui encadre les vols de petits drones.



Henri K.

Un hélidrone de la police chinoise a permis de retrouver un enfant qui s'est perdu dans la forêt



Henri K.

Est-ce que quelqu'un saurait traduire ce qu'il est mentionné dans ce texte du MoD irakien sur le drone chinois CH-4B ? Google Translate donne une traduction pas terrible, je comprend juste "le Nord de la province d'Anbu", "Albu Diab", "3 tués"...etc. Merci.

أبطال الفرقة العاشرة يدمرون مخزن للعتاد تابع لعصابات داعش الإرهابية

Citation :

تمكن أبطال الفرقة العاشرة وضمن المحور الشمالي لمحافظة الانبار بدك أوكار العدو من خلال  الطائرة CH4  حيث تم تفجير مخزن عتاد وحرق عجلة مفخخة لعصابات داعش الإرهابي إضافة إلى قتل ثلاث إرهابيين وجرح عدد آخر منهم  في شمال منطقة البو ذياب.

A noter que le MoD irakien communique régulièrement sur les résultats obtenus par leur CH-4B contre l'Etat Islamique. Voici les articles que j'ai recensé jusqu'à présent :

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Henri K.

Après les quelques succès de son grand frère Wing Loong I à l'export et en Chine, le nouveau drone MALE Wing Loong II de l'Institut 611 à Chengdu ne devrait plus tarder de sortir.

Turboprop UAV from China

Citation :

by David Donald
- February 15, 2016, 11:00 AM

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Chengdu Wing Loong II turboprop-powered UAV

First revealed by way of an information sheet at the Beijing Aero Show in September last year, the Chengdu Wing Loong II turboprop-powered UAV is being exhibited in model form for the first time outside China by Chinese aerospace group Catic (Stand S09). The model shows an air vehicle with a slender fuselage, not unlike that of the General Atomics Predator B/MQ-9 Reaper. Like the Reaper, it has large butterfly fins with a smaller ventral fin, but whereas the U.S. machine has wings with constant taper, Wing Loong II has a straight center section, outboard of which are tapering sections leading to tips with winglets.

Tantalizing glimpses of what are likely to be Wing Loong II appeared on Chinese websites earlier last year, several months before the official revelation, including one image depicting just the butterfly tail and rear fuselage of a primer-painted test aircraft. A prototype is likely to have flown. Within hours of a report about the UAV appearing in AIN a model of the aircraft was quietly removed from the Catic display.

Wing Loong II’s powerplant is unknown, but could be a variant of the 600-hp WJ-9 developed initially to power the Harbin Y-12 light transport aircraft. The vehicle can carry up to 12 guided missiles in pairs on its six underwing pylons, targeted by an under-nose sensor turret. Illustrations show the Norinco BA-9 weapon.

Released figures for the UAV include a wingspan of 67 ft., 3 in. (20.5 m), maximum takeoff weight of 9,260 pounds (4,200 kg) and an endurance of 20 hours. The stated external payload of 1,060 pounds (480 kg) is considerably below the 3,000-pounds (1,400-kg) of the MQ-9 Reaper, while the quoted ceiling of 29,500 feet (9, 000 m) is much lower than the 50,000 feet (15,240 m) achievable by the MQ-9.

In the same way that the Reaper grew out of the original Predator, so Wing Loong II is a larger and better-performing aircraft drawing on experience and the design concept of the original Wing Loong, a Predator-size UAV that is in service with the Chinese air force as the GJ-1.

The earlier Wing Loong has been marketed by Catic, and has achieved a number of successes. Export operators include Egypt, Saudi Arabia and the UAE, and the UAV has been used on operations over Yemen.

Henri K.

Selon le groupe CASIC, leur système anti-drone Sky Net (“天网” 低慢小目标拦截系统) a été déployé pour protéger le lieu où il y a une partie du gala de Nouvel An de CCTV à Guangzhou.

C'est le 7ème déploiement opérationnel de ce système, après les Jeux asiatiques de Guangzhou en 2010, le Forum de Boao et le Sommet BRICS à Sanya en 2011, les Jeux de minorité nationale en 2013, les Jeux nationaux à Shenyang en 2013, un événement majeur à Tiananmen en 2013, et les Jeux Olympiques de la Jeunesse à Nanjing en 2014.

http://epaper.ynet.com/html/2016-02/20/content_183428.htm?div=-1

http://epaper.ynet.com/images/2016-02/20/A06/bjqnb20160220A06.pdf



Le porte-parole du groupe clarifie également le fonctionnement du système. Le système est connecté directement aux autorités locales à chaque déploiement. Une fois l'identification faite et l'autorisation de l'interception reçue, un "missile" est lancé et capture l'engin volant avec un filet spécial. L'ensemble peut retomber au sol grâce à un parachute pour minimiser les dégâts.

Henri K.

CCTV-2 a diffusé ce soir un reportage de 50 mins, les premières 25 minutes sont particulièrement intéressantes car elles nous montrent des détails inédits sur le drone MALE armé Wing Loong conçu par l'Institut 611 de Chengdu (le même bureau d'études qui a conçu le J-10 et le J-20 par exemple).

On voit dans l'ordre d'apparition l'essai de tir réel de 2 exemplaires dédiés au client étranger, la production des drones, l'essai du moteur au sol, la simulation de tir au sol sur un appareil sortant d'usine, puis quelques scènes qui nous montrent un essai en vol nocturne du drone en Octobre 2015, un essai en vol en condition de neige en Décembre 2015, et le vol en formation de 2 drones Wing Loong en Janvier 2016.

http://tv.cctv.com/2016/03/12/VIDENyZfhP4bJdKt84JXlBpQ160312.shtml



Le directeur de programme Wing Loong a confirmé que Wing Loong II sera sorti très prochainement, et que Chengdu a gagné récemment un gros contrat international avec Wing Loong.

Henri K.

Quiz du jour...

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Henri K.

A Guiyang, les drones participent aux inspections écologiques



Déploiement d'un premier robot d'inspection des postes de transformation électrique dans la ville de Jinjiang



Henri K.

Quiz du soir



Henri K.