projet uchronique

C'est à peu près la répartition que j'ai obtenu sachant que certains chantiers augmentent leurs capacités et que l'industrie à digérer les nationalisations et monte peu à peu en puissance.

LE BRETON a écrit:

La construction des Hoche est suspendu en septembre 1939 mais en temps de paix, ils sont tous sur cale en décembre 1939.


Fait attention car il faut partager les cales avec la marine marchande .

Je reviens sur cet échange avec notre distingué collègue. J'ai décidé pour ne pas me perdre de faire un planning assez serré des constructions dans les différents chantiers français en intégrant aux constructions militaires des constructions de navires marchands.

Je voudrai savoir si quelqu'un connait approximativement la durée de construction des principaux types de navires marchands (le temps sur cale surtout qui est le plus important, l'achèvement à flot étant disons "secondaire")

Merci d'avance

Salut les gars

Des nouvelles de mon projet : je suis rendu aux De Grasse en voie d'achever le Guichen ce qui m'à permis de me rendre d'une terrible bourde puisque dans la précipitation, j'ai attribué le nom de Latouche-Tréville à un croiseur léger (le 4ème De Grasse) et à un contre-torpilleur de classe Bruix. Le CT de classe Bruix que j'ai baptisé dans mon document Latouche-Tréville devient le La Tour d'Auvergne

le nom La Tour D'Auverge faisait partie des noms proposé pour les 6 CT du programme 1940

Bayard
Duguesclin
La Tour d'Auvergne
D'Assas
Turennes
Bugeaud
Bruix
La Touche Tréville
Magon
Vaudreuil
Duptit Thouas
Magon

Exact, pour les Bayard j'ai choisit Bayard Du Guesclin Turenne Bugeaud Du Chayla et Dupetit-Thouars alors que pour les Bruix, j'ai choisit Bruix D'Assas La Tour d'Auvergne Magon Dunois et La Hire

Pour la bonne bouche, voici le nom des CT de la tranche 1947 (totalement uchronique) : Ronar'ch Vautreuil Rochambeau Aumale D'Estaing et Le Tellier

et pourquoi pour les programmes d'après 47 si j'ai bien lu tu ne reprendrais pas les noms des ct ou des croiseurs arrivant en fin de vie en 45

J'y ai pensé un temps mais je préfère de nouveaux noms. Pour l'évolution de la flotte, seul le Lamotte-Picquet est désarmé en 1946 suite à une explosion de chaudière à Djibouti, les autres auraient du être désarmés en 1948 et 1949 mais comme la guerre à éclaté.

Pour les CT, Le Jaguar est désarmé en juillet 1944, le Chacal en septembre 1944 et le Léopard en octobre 1944,-Le Panthère est désarmé en août 1945, le Lynx en octobre 1945 et le Tigre en novembre 1945 ; Guépard désarmé en novembre 1945, Lion en décembre 1945 et Bison dès septembre 1945, Le Valmy est désarmé en juin 1946, le Vauban en septembre 1946 et le Verdun en janvier 1947.

Actuellement, je suis rendu au croiseur léger Waldeck-Rousseau donc j'ai encore du boulot mais ayant plus de disponibilités en ce moment, j'ai passé la surmultipliée.

Hier par exemple, j'ai résumé les historiques des DCT et j'étais fier de n'avoir eu que deux doublons à éliminer.

Je dois maintenant faire la même chose avec les torpilleurs d'escadre mais cela va être plus gratiné je le sens

J'ai achevé une version de base de l'historique des TE (Torpilleur d'Escadre)

Demain, je commence les Jaguar

Pour le moment j'en suis à 481 pages

481 pages .............tu comptes faire comment pour les poster sur le forum............

Je sais pas si je vais passer par le forum, je me demande si je ne vais pas créer un blog ou un site internet dédié parce que c'est vrai que c'est un projet qui prend du poids. Cela me donne parfois le vertige, je passe par des phases d'exhaltation et des phases d'abattement

Aujourd'hui, j'ai commencé les contre-torpilleurs par la classe Jaguar, réalisant l'intro et l'historique du premier nommé. Et j'en suis à déjà 9 pages

Salut les gars

J'ai décidé à partir de maintenant de réaliser un point quotidien sur la progression de mon uchronie (tout en prévoyant de poster d'autres documents de travail)

Aujourd'hui, j'ai achevé l'historique du Jaguar, du Chacal, du Léopard et j'ai fait les 3/4 de celle du Tigre et en conséquence de ses deux sister-ships de la 4ème puis 3ème DCT, les Panthère et Lynx.

Cela fait déjà 29 pages ce qui porte le total de pages écrites dans cette uchronie à 510 pages.

Bonne nuit à tous et à demain

Salut à tous

Pas grand chose à signaler aujourd'hui. J'ai bien avancé l'historique de trois derniers Jaguar et j'espère les achever ce week-end avant d'enchainer par les Guépard.

Total de pages à ce jour : 511 pages

Bonne nuit à tous

Salut à tous

Comme chaque soir le point quotidien :

Je viens de terminer les Jaguar : 41 pages !

Cela porte le total de pages écrites à 522 pages

Demain, je commence normalement les Guépard.

A+

Changement de programme, point de Guépard aujourd'hui mais une synthèse concernant les pétroliers et les ravitailleurs, document de travail que je compte posté prochainement dans ce sujet. Je vais d'ailleurs reprend où j'en étais resté

NOTE DE SYNTHESE
«LES PETROLIERS DE LA MARINE NATIONALE»

INTRODUCTION

-Mise en place de dépôts pétroliers dans les différents ports militaires : Brest, Lorient, Toulon, Mers-El-Kébir, Bizerte, Beyrouth, Saïgon, Cam-Ranh, Nouméa, Papeete

-Dépôts ravitaillés en mazout depuis le Texas, le Mexique, le Vénézuela, les Antilles Néerlandaises, les Indes Néerlandaises et l'Algérie (pétrole du Sahara)

-Les pétroliers de la marine nationale sont théoriquement chargés de ravitailler le pays en carburant et en pétrole brut mais le soutien des escadres prend tellement de temps que peu à peu, ce sont des pétroliers civils qui vont ravitailler le pays.

-Mise en place de terminaux pétroliers : Dunkerque (ce qui facilite le ravitaillement l'ELN), le Verdon, Fos sur Mer, Arzew (chargement de pétrole brut destiné à être raffiné en métropole)

LES PETROLIERS DE LA MARINE NATIONALE

Pétroliers en service le 1er juin 1940

Le Rhône : Pétrolier acquis d'occasion acquis en décembre 1910. A cette époque (juin 1940), il est basé à Brest. Il ravitaille les navires militaires à flot et ravitaille les dépôts pétroliers de Brest et de Lorient depuis le port du Verdon en mazout et en diesel. Il est désarmé le 30 septembre 1941 et remorqué à Landevennec, servant de pontons pour des navires légers désarmés

La Garonne : pétrolier acquis d'occasion le 18 février 1913. En juin 1940, il est basé à Lorient servant de base mobile de ravitaillement en attendant que les citernes enterrées soient inaugurées (septembre 1942). Il est désarmé le 4 octobre 1941 et remorqué comme brise-lames à la pointe de l'Esperance, brise-lames équipé de pièces de DCA en septembre 1948

La Dordogne : pétrolier acquis d'occasion le 5 août 1914. En juin 1940, il est basé à Bizerte, servant de ravitailleur au profit des navires militaires basés dans le grand port tunisien. Il devait être désarmé début 1942 mais il sera prolongé jusqu'à la mise en service du Mayenne en mars 1943. Il est désarmé le 7 avril 1943 et va servir de ponton au dépôt pétrolier de Gabès.

L'Aube est mis sur cale à l'Arsenal de Lorient le 1er mars 1920 lancé le 17 juillet 1920 et admis au service actif le 23 juin 1921. En juin 1940, il est basé à Mers-El-Kébir, chargeant du mazout à Fos sur Mer pour ravitailler les dépôts de Mers-El-Kébir et parfois ceux de Bizerte voir de Gabès. Son désarmement était prévu en septembre 1945 mais au final, il est prolongé et toujours en service en septembre 1948.

La Durance est mise sur cale à l'Arsenal de Lorient le 10 mars 1920 lancée le 11 septembre 1920 et admis au service actif le 1er septembre 1921. En septembre 1940, il est basé à Mers-El-Kébir pour les mêmes missions que l'Aube. Son désarmement était prévu en septembre 1945 mais il est prolongé jusqu'en septembre 1947 quand une avarie provoque sa mise en position de complément.

La Rance est mis sur cale à l'Arsenal de Lorient le 20 septembre 1920 lancée le 6 juillet 1921 et admis au service actif en juin 1922. En juin 1940, il est basé à Brest chargé de ravitailler les unités légères jusqu'en mars 1945 quand il est désarmé et remplacé par le pétrolier-caboteur Nièvre.

Le Loing : Il est mis sur cale aux chantiers Worms du Trait le 21 août 1925 lancé le 4 avril 1927 et admis au service actif le 1er octobre 1927. Il assure à la fois des transports de pétrole entre la France , l'Empire et les sites d'exploitation et le ravitaillement des opérations. Il est affecté en Indochine de 1933 à 1938 puis en Indochine après avoir été relevé par le Niger. En juin 1940, il est en carénage à La Rochelle avant de retourner aux Antilles. En septembre 1948, il est toujours affecté aux Antilles

Le Mékong : Il est mis sur cale le 7 octobre 1927 lancé le 31 août 1928 et admis au service actif le 12 juillet 1929. En juin 1940, il est intégré à la 6ème Escadre Légère et basé à Bizerte. Il est toujours en service en septembre 1948.

Le Niger : Il est mis sur cale le 31 décembre 1927 lancé le 14 mars 1930 et admis au service actif le 4 octobre 1930. Il est affecté en métropole jusqu'à l'été 1938 quand il est envoyé en Indochine pour relever le Loing redéployé aux Antilles.

L'Elorn : est mis sur cale aux chantiers Deutsche Werft de Hambourg, lancé le 31 octobre 1930 et admis au service actif le 24 août 1931. Les années qui le sépare de la guerre de Pologne sont occupées à des missions de transport entre la France et les bassins de production (Amérique Latine Caucase) mais à partir de septembre 1939, il va servir de ravitailleur en étant basé à Toulon. Toujours en service en septembre 1948

Le Var est construit dans le même chantier que l'Elorn. Lancé le 17 mars 1931, il est armé à Cherbourg et admis au service actif le 15 novembre 1931 entamant les rotations entre la France et les puits de pétrole notament ceux du Caucase. En juin 1940, il est basé à Brest, soutenant la Flotte de l'Atlantique notamment la 1ère Escadre et la 3ème Escadre Légère.

La Sèvre (ex-Nivose) est mis sur cale au chantier Deutsch Werft de Hambourg en 1930 et lancé en 1931. Repris par le ministère des Colonies en avril 1932, il est mis à la disposition de la marine nationale en 1934. Basé à Toulon, le pétrolier est rebaptisé Sèvre en janvier 1942 pour libérer ce nom pour le futur sous-marin de type Aurore/Phoenix.

L'Adour est mis sur cale aux chantiers navals de la Ciotat le 5 juillet 1937 lancé le 9 octobre 1938 et admis au service actif le 20 avril 1940. Il est basé à Toulon avec pour mission principal de soutenir le porte-avions Joffre alors encore en construction pour le ravitaillement en carburant en route et en matériel à flot bien que les plus lucides estiment possible un ravitaillement en matériel et en marche.

Le Lot est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de France à Dunkerque le 7 mai 1937, lancé quasiment achevé le 19 juin 1939 et admis au service actif le 9 décembre 1939. Il est basé à Brest et doit à terme soutenir le porte-avions Painlevé.

Le Tarn est mis sur cale aux Ateliers et Chantiers de France à Dunkerque le 5 octobre 1937 lancé le 10 septembre 1939 et admis au service actif le 9 avril 1940. Il est basé à Mers-El-Kébir pour soutenir les navires de la 4ème Escadre dont un hypothétique porte-avions, le futur Commandant Teste.

L'Odet : Il est acquis le 24 mai 1939 pour à l'origine servir de ponton à Lorient mais encore en bon état, ce pétrolier britannique construit en 1922 va finalement être utilisé comme pétrolier par la Division Navale du Levant, le pétrolier arrivant à Beyrouth en janvier 1940 après avoir été utilisé à Lorient.

Il va assurer à flot et à l'arrêt le ravitaillement des navires de cette force navale mais également recompléter les soutes du port de Beyrouth depuis Haïfa où les britanniques ont aménagé un terminal pétrolier, les champs pétrolifères de Mossoul et de Bassorah alimentant la raffinerie mieux protégée que Fort Knox ou plutôt que la Banque d'Angleterre.

Il est désarmé le 17 avril 1946, machines à bout et transformé en ponton dans le port de Beyrouth ponton-citerne ravitaillé par son successeur, le pétrolier-caboteur Ardèche mis en service en juin 1946.

Le Suroit : Le Suroit est un pétrolier-caboteur mis en service en 1938 par la Citerna Maritime pour du cabotage pétrolier. Il est réquisitionné en mai 1940 pour le Maroc et utilisé jusqu'en février 1942 à Casablanca, chargé du pétrole raffiné à Fos sur Mer pour constituer les stocks destinés aux navires déployés au Maroc avec parfois des incursions jusqu'à Dakar.

Il est redéployé à Dunkerque en mars 1942 au moment de la création de l'Escadre Légère du Nord, création officialisée par décret le 17 mars 1942. Il va servir de ravitailleur pour les navires de l'ELN (croiseur léger antiaérien, contre-torpilleurs, torpilleurs d'escadre et torpilleurs légers) tout en ravitaillant le dépôt pétrolier, chargeant du pétrole au Verdon.

Il est désarmé le 12 décembre 1947 mais coule en remorque alors qu'on le conduisait dans un chantier normand pour y être démoli. Il est remplacé au sein de l'ELN par le pétrolier-caboteur Blavet qui disposait d'une capacité limitée de ravitaillement à la mer.

Pétroliers et ravitailleurs en construction le 1er juin 1940

Ravitailleurs type Adour

-La Charente est mise sur cale le 4 mai 1939 lancé le 12 mai 1941 et mis en service en août 1942, intégrée à la Flotte de l'Atlantique avec Brest pour port d'attache.

-La Mayenne est mis sur cale le 21 septembre 1939 lancé le 4 octobre 1941 et mis en service en mars 1943 avec Bizerte comme port d'attache.

-La Baïse est mis sur cale le 30 mai 1940 lancé le 14 juillet 1942 et mis en service en janvier 1944 et sera basé à Mers-El-Kébir.

Pétroliers-ravitailleurs d'escadre classe La Seine

-La Seine est mis sur cale le 15 novembre 1939, lancé le 22 avril 1941. Mise en service prévue pour juillet 1942 avec Brest pour port d'attache.

Bien que sa mission principale soit de ravitailler les navires des 1ère et 3ème escadre légère, La Seine va aussi effectuer des transports pétroliers, chargeant du pétrole raffiné au Verdon pour le transporter à Brest. Il effectua également plusieurs traversées transatlantiques en direction des Antilles, des Etats-Unis et du Mexique pour charger du mazout, du kérosène et du diesel.

-La Saône est mis sur cale le 20 mai 1939 lancé le 5 juin 1941 et mis en service en octobre 1942. avec Toulon pour port base.

Bien que chargé principalement de soutenir les navires de la 2ème escadre, le pétrolier La Saône va également effectuer des transports pétroliers, chargeant à Fos sur Mer voir à Haïfa du mazout, du kérosène et du diesel pour ravitailler Toulon mais parfois également Mers-El-Kébir, Ajaccio et Bizerte.

-La Medjerda est mis sur cale le 8 janvier 1940 lancé le 8 mars 1942 et mis en service en juin 1943 avec pour port d'attache Mers-El-Kébir.

Chargé principalement de soutenir les navires de la 4ème Escadre, le pétrolier La Medjerda va aussi effectuer des transports pétroliers, moins le pétrole brut algérien que le pétrole raffiné en mazout, kérosène et diesel venu de Fos sur Mer.

-Le Liamone est mis sur cale le 4 avril 1940 lancé le 15 janvier 1942 et mis en service début mars 1943 avec Toulon pour port d'attache.

Bien que chargé principalement de soutenir les navires de la 2ème escadre, le pétrolier La Liamone va également effectuer des transports pétroliers, chargeant à Fos sur Mer voir à Haïfa du mazout, du kérosène et du diesel pour ravitailler Toulon mais parfois également Mers-El-Kébir, Ajaccio et Bizerte.

-Le Pétrolier-ravitailleur rapide Rhône est mis sur cale le 12 septembre 1944 lancé le 12 mars 1946 et mis en service le 4 octobre 1946. Il sera basé Cam-Ranh en Indochine.

La présence d'un autre pétrolier en Indochine (le Niger) fait que le Rhône sera essentiellement utilisé comme ravitailleur au profit des FNFEO qui connaissent un spectaculaire renforcement durant la décennie 1940 avec un croiseur lourd, un croiseur léger, des torpilleurs d'escadre et des torpilleurs légers, des sous-marins mais surtout un porte-avions léger.

-Le Garonne mis sur cale le 4 octobre 1944 lancé le 4 avril 1946 et mis en service le 12 novembre 1946. Il sera basé à Diego-Suarez pour soutenir les FNAEF en ravitaillant les navires à la mer mais également en chargeant du mazout, du kérosène et du diesel aux Indes Néerlandaises, en Malaisie mais également en Iran et en Irak.

Salut à tous

Voilà où j'en suis actuellement. J'ai quasiment terminé le Guépard ce qui porte tout de même le texte sur les contre-torpilleurs à 55 pages soit au total pour mon uchronie : 536 pages

Bonne nuit à tous

houla nous allons passé de bonnes soirées pour tout lire

Effectivement, cela devient monstrueux et de plus en plus compliqué mais pour l'instant il n'y à pas trop de doublons. J'ai calculé que rien que la partie consacrée à la France pourrait avoisiner les 1500 pages.

Pour la publication, je pense créer un site internet ou un blog, ce sera à mon avis trop lourd pour le forum.

Mais nous n'en sommes pas encore là.

Voici le bilan du jour

J'ai terminé les Guépard, Bison et Lion ce qui porte le nombre de pages à 552 pages.

J'espère terminer les Guépard au plus tard ce week-end avant soit de réaliser un nouveau document de travail ou enchainer sur les Aigle.

Bonne nuit à tous

Salut à tous

Je poursuis à un bon rythme les Guépard. Je viens d'achever le Vauban ce qui porte le nombre de pages à 560 pages

Salut à tous

Mon projet pharaonique progresse tout doucement. Je viens d'achever le Valmy ce qui porte le nombre de pages à 558

Salut à tous

Achèvement aujourd'hui des Guépard ce qui porte le nombre de pages à 577.

En attendant d'enchainer par la classe Aigle, j'ai commencé un nouveau document de travail, une synthèse sur l'évolution des sous-marins français tant le matériel que l'organisation.

Bonjour,
J'ai pris le temps de lire le sujet avant de mettre mon grain de sel dans ce Forum. Et il me vient deux idées:
La première est la piste emprunté et la méthode pour laquelle je ne peut qu'être admiratif et baba devant la qualité de ce travail de bénédictin. Encore que les Bénédictins ne faisaient que recopier et alors qu'ils devaient se contenter de ça ils y apportaient un peu d'Utronie soit pour ne pas choquer soit parceque ils tenaientcompte du temps.
Et c'est ce qui m'amène à ma seconde remarque le facteur temps. Si l'on en juge par votre démarche et je le lis dans les commentaires de nos amis sur les disponibilités des formes des ateliers et pourquoi pas des moyens financiers nécessaires, tout cela demande du temps, beaucoup de temps. Et pendant ce temps là à coté ? les autres pays potentiellement belligérant? Et en fin la politique de l'armement est directement lié à la politique nationale et des rapports d'un pays avec ses voisins et des intentions de ceux-ci.
Je me disais que votre projet est magnifique et que ce serait intéressant de voir simultanément un de nos amis aux compétences proches des vôtres prendre la place du voisin et de réagir en fonction de son jugement face à votre réarmement . et de la façons dont il interprète vos efforts face à ce qu'il peut juger comme une possibilité d'alliance ou hélas une préparation belliqueuse.

Allons pardon de m'être mélé de ce cui ne me regardais pas mais qui me passionne tout de même.
Je reviens sur le Facteur temps: C'est une vue à très long terme et Louis XIV a fait planter des milliers de Chênes pour construire la flotte qui lui semblait correspondre à sa grandeur et sa magnificence.
Cordialement et bonnes études malgré tout prioritaires. Courage et Bravo je continu à suivre.

Merci de ces encouragements. C'est vrai que je me suis lancé dans un travail titanesque ce qui fait que je passe par deux états : une période d'exhaltation et une période d'abattement

Pour les autres bélligerants, j'ai prévu de le faire. Par exemple l'Allemagne aura une marine proche de celle du plan Z, la Royal Navy va construire ses porte-avions de classe Malta et ses cuirassés de classe Lion; les américains auront leurs Montana, les soviétiques leurs Sovietsky Soyouz........... .

Une fois la France terminée, je commencerai à poster probablement sur un blog ou sur un site internet avant de passer aux autres pays.

Je préfère travailler en solitaire, j'ai eu trop de mauvaises expériences au lycée et à l'université pour ne pas être méfiant vis à vis du travail du groupe.

En fin en un mot Chapeau Bas.
Si mes connaissances en la matière sont de l'ordre de la taille d'une graine de moutarde, je n'en reste pas moins à votre disposition pour ce qui concerne l'œil du politique.
Et bonnes vacances universitaires pensez aux cadeaux au sapin et laissez vous aller à la détente.
Chaleureusement Gilles The old man on the FORUM