PH R97 JEANNE D'ARC

yes! il faut ce troisiem bpc, quand à la formation au tir, il enverront les cadet faire un stage à draguignan pour savoir à quoi ça ressemble un canon et apres, ils auront suffisamment d'occase pour s'entrainersur les avt

br1150 a écrit:

A priori, c'est séduisant mais pour la formation au tir, comment vont-il faire?
Monter un char Leclerc sur le pont?
Pas con!

Est-ce que ce n'est pas le rôle de la conserve justement ?

pourquoi ne pas mettre à la place des 30 ( qui n'ont pas encore été installé justement sur les 2 BPC ) un 76 ???????????

clausewitz a écrit:

et Bill que pense tu du Fearless ?

attends que je te trouve et tu t'appeleras "Fearfull" mon gars



sinon, sur le BPC 3, pourquoi ne pas monter les 2 76mm des Horizons qui ne servent de toutes facon a rien ??

un noM le Jacque-Yves Cousteau, je pense que tous le monde srat d'accord, meme les americains

je reviens sur mon idee de draguignan (ecole d'application de l'artillerie), cela permettrait au passage de familiariser les marins avec les procedures de l'armee de terre, ils risquent d'en avoir besoin avec les fremm avt

à vrai dire, je ne vois pas ou on pourrait les monter ces 76 sur le bpc3 "tramontane"

Sur le pont ils auront la place de déployer une batterie d'AUF1 et une autre de ROLLAND, comme cela il aura des capacitées anti aériennes, tir à terre et tir naval!

Et tout cela s'apprend au camp Bonaparte à draguignan.

Clausewitz nous dit la Jeanne a pas tiré ect...
Et ça, c'est quoi?

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/dechainez_les_feux_de_l_enfer

J'ai dit à ma connaissance et je ne sais pas tout

J'ai juste voulu faire une petite remarque sur ce qui fait la différence entre un BPC et la Jeanne, mais sachant que nous n'aurons jamais les moyens de remplacer la Jeanne par un batiment équivalent, il faut reconnaître que le BPC remplit facilement 95% du programme.
Comme le dit clipper, le rôle de la conserve sera très important, pour ce rôle une FREMM me parait le minimum, d'autant que le Georges Leygues est le plus vieux de sa catégorie.
Sur les 8 prévues, y en a-t-il une pour cette mission?

je penses qu'avec le president qu'ont a, et qui est plus volontaire que les 4 derniers

je crois qu'il est capable de decrocher son telephone et de faire une mission europeenne avec une fregatte de conserve allmande ou Italienne

je suis plus de l'avis de bill pour un groupe européen,
par contre les FREMM sont la pour remplacer les batiments "operationnels", F67,AVISOS et F70, le cas du George Leygues ce batiment n'a subi aucune refonte depuis sa fonction de conserve s'il devait etre remplace ce serait surement par le germinal qui a deja occupé cette fonction il y a quelques années ou a la rigueur par une Lafayette.

Germinal et Lafayette me paraissent un peu riquiqui pour des batiments qui en plus de leur équipage devront recevoir des palanquées de cadets et d'instructeurs à cadets.
De plus leur armement est incomplet: pas de moyens ASM alors que le BPC n'en a pas lui non plus.
Par ailleurs, on nous dit que Cassard et Jean Bart seront remplacés par Forbin et Chevalier Paul, Cassard et Jean Bart ne sont pas vraiment vieux alors?
J'ai de gros doutes quant à la solution européenne, je ne sais pas si l'Italie pourra nous affecter un Andrea Doria pour une durée aussi longue; ce n'est pas moi qui dirais "l'Europe, l'Europe en sautant comme un cabri".

br1150 a écrit:

Par ailleurs, on nous dit que Cassard et Jean Bart seront remplacés par Forbin et Chevalier Paul, Cassard et Jean Bart ne sont pas vraiment vieux alors?

Les Horizons remplacent les Duquesne et Suffren , 2 autres etaient prevues pour 2014 pour replacer les Cassard et Jean Bart mais ce seront des Fremm en version AA.

Certes, sur le papier tu as raison, mais dans la pratique ce sont bien Cassard et Jean Bart qui ont fait le boulot des Suffren et Duquesnes, vénérables coques lancées avant 1970 et qui tournaient sur trois pattes.
Il n'en demeure pas moins que l'escorte d' un BPC (qui n'est qu'un navire de transport) implique une autre capacité militaire que celle dont pouvait se contenter la Jeanne qui est, en rélité, un croiseur.
Des FREMM pour remplacer des avisos de 1200 t, c'est un peu remplacer la mobylette du facteur par une mille yamaha.

Question a propos de la Jeanne... quelle est la longueur de la plate forme helicoptere ? (je veut dire, la grande plate forme degagée derriere l'ilot)
Des Harriers a bord de la Jeanne ?

pas un gros probleme a mon avis, si il y a de la place pour un super Frelon, il y en a bien pour un harrier

le probleme est plutot le revetement du pont qui doit etre le meme que sur les BPC et qui ne supporte pas la chaleurs et le souffle des reacteurs.

Sinon, pour infos, les russes posait des Yak 38 Forger sur la Moskva, qui avait le meme design que la Jeanne.
le probleme etait que l'ilot genait le decollage, surtout quand l'avion etait charges. c'est pour ca qu'ils ont laisses tomber ce design pour faire les Kiev

Un tres vieux slogan (quand j'etais encore jeune...):
Quand on n'a pas de petrole, on a des idees (rapport parlementaire):
http://ifm.free.fr/htmlpages/pdf/2006/475-96-succession-jeannedarc.pdf

Francois a écrit:

Un tres vieux slogan (quand j'etais encore jeune...):
Quand on n'a pas de petrole, on a des idees (rapport parlementaire):
[url=http://ifm.free.fr/htmlpages/pdf/2006/475-96-succession-jeannedarc.pdf

http://ifm.free.fr/htmlpages/pdf/2006/475-96-succession-jeannedarc.pdf[/quote[/url]]

Excellent! Cela semble parfaitement cohérent, le BPC etant clairement le batiment le plus proche de la Jeanne

Alors (comme chantait l'autre, encore plus vieux que le slogan sur le pétrole!) "Qu'est ce qu'on attend... ?"

Ouai, mais je vois que t'as 40 ans de plus que moi, donc tu me larrrrrrrrgues la!

Citation :

Brest : Ultime passage au bassin pour le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc

L'une des dernières pages de l'histoire de la Jeanne d'Arc s'est tournée. Le navire école de la Marine nationale a connu, cet été, un ultime passage en cale sèche avant son désarmement, prévu en 2010. Mené par DCNS, à Brest, l'arrêt technique majeur du porte-hélicoptères a débuté le 21 mai, le navire ayant quitté le bassin n°9 de la base navale le 23 août. Durant cette opération, la coque a été décapée et repeinte alors que l'appareil propulsif du navire, plus que quarantenaire, a été remis en état avec vérification des chaudières et des collecteurs de vapeur. Les lignes d'arbres ont également été visitées, avec mesure des jeux de fonctionnements, c'est-à-dire les écarts entre la ligne d'arbres et les paliers la supportant. Le séjour en cale sèche était d'autant plus important que la Jeanne d'Arc passe traditionnellement au bassin tous les deux ans. Or, pour des raisons évidentes de coûts, il convenait de vérifier qu'une nouvelle opération de ce genre, qui serait intervenue un an avant le désarmement du navire, pouvait être évitée : « Nous n'avons constaté que peu d'usure par rapport au dernier passage au bassin, en 2005. Les projections montrent qu'on peut se dispenser d'une autre cale sèche en 2009 », explique Cyrille le Montagner, directeur de projet du Maintien en Condition Opérationnelle des Navires Fortement Armés (MCO/NFA) de DCNS à Brest.

La difficulté des pièces de rechange
Entretenir un bateau comme la Jeanne d'Arc n'est pas une mince affaire. La « vielle dame », dotée d'une propulsion à vapeur, a fêté cette année ses 43 ans de service : « C'est un challenge. Il y a notamment la difficulté des rechanges. Il faut soit trouver un remplacement, soit réparer, soit fonctionner en mode dégradé. Quelques cas difficiles concernent des vannes bien spécifiques, datant des années 50 ou 60. Il y a également le problème des compétences dans le secteur de la vapeur qui se font de plus en plus rares. Comme il n'y a plus de bateaux de ce type là, il faut parfois jongler avec les ressources humaines », souligne Cyrille le Montagner. Pour certaines pièces, qui ne sont plus produites par les constructeurs et dont les stocks ont été épuisés, la marine puise au profit de DCNS dans sa flotte de navires désarmés. C'est le cas notamment du croiseur Colbert et des frégates Duquesne et Duguay Trouin, où des prélèvements ont été réalisés ces dernières années dans les compartiments machines. « Jusqu'à présent, nous sommes toujours parvenu à réparer », se félicite le directeur de projet, qui doit également gérer d'autres risques d'obsolescence : « En dehors de la propulsion, le domaine armes/équipements est également sensible car on trouve à bord de vieilles technologies, avec des cartes d'ancienne génération et pas de microprocesseurs ».

50.000 heures de travail
Lors de l'ATM de la Jeanne d'Arc, DCNS a procédé à une importante rénovation des usines frigorifiques. Ces équipements, qui produisent de l'eau à 8 degrés, sont destinés au refroidissement de l'électronique embarquée et à la production d'air conditionné. Deux usines ont été remplacées afin d'assurer encore trois ans de disponibilité. En dehors de la traditionnelle maintenance des systèmes de transmission et de navigation, comme les radars, l'une des deux tourelles de 100 mm a également été réparée. Vannes, pompes, matériels électriques... En tout, quelques 600 équipements ont été démontés et sont passés dans les ateliers de DCNS. Pour l'industriel, le chantier aura représenté 50.000 heures de travail et 80 personnes présentes en permanence. Dans le cadre de l'amélioration du MCO des navires de la Marine nationale, DCNS a pour objectif d'achever les travaux de la Jeanne d'Arc le 5 octobre. Les essais à la mer sont programmés autour du 12 octobre, soit une semaine d'avance par rapport à la date contractuelle (la fin de l'ATM est prévue le 29 octobre). Selon Cyrille le Montagner : « Depuis le changement de statut de l'entreprise, nous avons fait énormément de progrès, notamment grâce à la réactivité des achats. Sur un navire à vapeur, cela ne se traduit pas par des gains de temps extraordinaires mais maintenant nous garantissons les dates, voire on termine plus tôt. Pour les marins c'est important car plus l'équipage a de temps pour prendre en main le bateau avant de partir, plus il est serein ».

Préserver le bateau pour qu'il tienne encore trois ans
Malgré son grand âge, la Jeanne se montre robuste. Au bassin, le navire arborait encore fièrement, cet été, les superbes lignes de sa coque, dérivées de celles du Colbert : « Ce n'est pas une première jeunesse mais la structure est en bon état. Nos anciens qui l'on construite ont pris les marges nécessaires pour que le bateau résiste dans le temps. C'est un navire solide. Nous avons fait des ouvertures dans la coque et nous avons remarqué que celle-ci était en très bon état, même en dehors des zones blindées ». Pour Cyrille le Montagner, la longévité de la Jeanne d'Arc tient non seulement à son entretien mais aussi à la manière dont elle est utilisée. « Une façon de préserver ce bateau c'est la conduite. les marins l'exploitent avec beaucoup de précautions ».
En décembre, le porte-hélicoptères quittera Brest pour sa 43ème campagne. Comme tous les ans, il parcourra les mers du globe durant six mois pour former, à la mer, les futurs officiers de marine. Aucune décision n'a encore été prise concernant son remplacement, bien que les marins souhaitent voir un troisième bâtiment de projection et de commandement lui succéder.

Que devient-il du projet d'acheter un troisième BPC type Mistral pour remplacer la Jeanne ?

Je pense que c'est à l'état de l'étude, il semble que ce soit la solution préférée par la marine car comme ça elle pourrait obtenir ni vu ni connu un troisième BPC

La Jeanne en bassin le 15 08 2007 (photo perso)

J'adore les photos des navires sur cale ou en forme de radoub merci X07

je suis de ton avis,