PH R97 JEANNE D'ARC

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/terriens_des_airs_en_mer

Il y'a-t-il des contre-indications sur certains produits ... ???
(genre saucisson, confiture, chocolats ou autres victuailles ... )

Djim, tu sais, dans la Marine on mange trés bien .... donc ce genre de colis me parait superflu

OK, je vous remercie bien pour vos infos !!

Bonne continuation a vous ...

Le GEAOM quitte Djibouti (article du 5 avril 2007)

citation:
La " Jeanne " lève l'ancre aujourd'hui…

Le porte-hélicoptères "Jeanne d'Arc ", ambassadeur de la France autour du monde qui doit lever l'ancre aujourd'hui, a reçu et formé au cours de ses annuelles campagnes d'application, des milliers d'officiers de marine. Pour son commandant, c'est un moule unique où se forgent les caractères, où les élèves de l'école navale passent du statut d'étudiant à celui de marin, s'engageant pour la première fois dans des postes de responsabilité et de compétences techniques qui seront les leurs tout au long de leur carrière militaire. C'est aussi un vieux navire de guerre qui a subi de nombreuses transformations depuis sa mise en service un 16 juillet 1964, date à laquelle il passa de " La Résolue " à " La Jeanne d'Arc ". A chacun de ses déplacements, le porte-hélicoptères est accompagné de la frégate Georges Leygues. Notons que cette présence d'un autre bâtiment est rendue nécessaire par les exercices en mer et pour "donner du large" aux promotions devenues chaque année plus nombreuses. Nous avons assisté, avant que le navire ne lève l'ancre, à une exposition des activités du groupe d'application de Jeanne d'Arc par le commissaire Principal Lemoine responsable des relations publiques au sein du Groupe Aéronaval.
Selon Le commissaire Lemoine, l'accostage du Jeanne d'Arc démontre une fois de plus l'intérêt que porte la Marine Française au Port de Djibouti. Depuis le début de l'année, ce sont plus d'une quarantaine de navires de guerre français qui ont fait escale à Djibouti. A Djibouti, l'équipage du Groupe aéronaval du Jeanne d'Arc a envahi les souks et autres endroits de divertissement pour redécouvrir le charme de cette terre d'accueil et d'hospitalité qu'est notre pays.

IBRAHIM MOHAMED (journal La Nation)

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/inspection_generale_des_batiments_du_geaom

Inspection générale du GEAOM au large de la Sicile. Le retour est proche!
X8)

Sinon djim, tu m'envoies ton colis et je lui donne en main propre

Djim :

J'ai trouvé ce qui suit sur le site du CdG

Dispositions générales à tous les pays :
La poste et les offices postaux étrangers ont négocié des accords avec leurs services douaniers nationaux pour simplifier les procédures de dédouanement afin de retarder le moins possible les envois postaux.
Les envois confiés à la poste doivent donc satisfaire à la fois aux conditions d’ordre général prévoyant les documents douaniers à joindre et aux conditions particulières imposées tant par le pays d’origine que par celui de destination. (restriction d’importation, production de certificats divers, documents permettant au destinataire d’obtenir le bénéfice de tarifs douaniers préférentiels).
Tout envoi commercial doit obligatoirement être accompagné de 2 factures.
La notion de cadeau peut être appréciée de façon très différente selon le pays de destination, celui-ci peut fixer des seuils d’exonération selon la nature des marchandises.

Les objets interdits :
- les objets qui, par leur nature ou leur emballage, peuvent présenter un danger pour les agents, salir ou détériorer les autres envois ou l’équipement postal.
- Les stupéfiants et les substances psychotropes
- Les matières biologiques périssables, infectieuses ou non infectieuses
- Les animaux vivants
- Les objets obscènes ou immoraux
- Les matières explosives, inflammables ou autres matières dangereuses telles que les gaz comprimés, les matières radioactives, les liquides corrosifs.
- Les bijoux, métaux précieux, billets de banque, valeurs au porteur, or ou argent, et autres objets de valeur. (sauf s’ils sont insérés dans des envois recommandés sous enveloppes closes quelle que soit leur valeur ou dans des envois avec valeur déclarée).

Dispositions particulières à certains pays : principaux objets interdits
- Arabie Saoudite : cassettes non admises dans les envois recommandés, boissons alcoolisées, liqueurs, armes, billets de banque, pièces de monnaie, chèques de voyage. Toute importation d’appareils électroménagers électriques et leurs accessoires doit être accompagné d’un certificat en langue arabe en conformité aux normes saoudiennes.
- Djibouti : boissons alcoolisées.
- Emirats arabes unis : armes et munitions, boissons alcoolisées, produit du porc, billets de loterie. Les colis n’excédant pas une valeur de 500 dirhams sont dispensés de toute mesure douanière. Il en est de même pour les colis dont le montant dépasse 500 dirhams mais qui n’ont pas un caractère commercial et contiennent des effets personnels. Tous les colis provenant par voie postale, quels que soit leur contenu et leur valeur, ne doivent pas comprendre d’objets ou de marchandises en provenance d’Israël ou de société ayant quelconque rapport avec Israël.

https://www.youtube.com/watch?v=j4vxcl19x2g&mode=related&search=

RAM de la Jeanne

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104507

Le GEAOM en exercice en méditerranée avec une belle flotte!
X

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/une_journee_a_bord_du_porte_helicopteres_jeanne_d_arc
http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/cadet_training_07_pour_le_groupe_ecole

Le GEAOM débute l'exercice "Cadet Training 01"

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_journal_de_bord_geaom_2006_2007/montee_en_puissance_de_la_cadet_training_07

Cadet Training, douze navires de guerre en exercice en méditerranée

elle et sa conserve son arrivee ce matin sous la pluie , le jt de tf1 viens d'en parler, jean pierre pernault a aussi parler de son age 46ans, leplus vieux navire de la marine et se son retrait du service 2010.

born to sail a écrit:

elle et sa conserve son arrivee ce matin sous la pluie , le jt de tf1 viens d'en parler, jean pierre pernault a aussi parler de son age 46ans, leplus vieux navire de la marine et se son retrait du service 2010.

http://filinfo.france3.fr/popup_afp.php?nameRegion=ouest&id=070508111009.qvhdlypw

C'est son dernier passage en cale sèche avant son retrait du service actif. Un sacré chantier.
Dans un bruit d'enfer, au fond du bassin numéro 9 de la base navale, les caréneurs sont au travail. Haute, étroite, très droite, l'étrave de la Jeanne domine la situation avec élégance. Le navire-école se trouve au sec depuis la fin mai. C'est son dernier passage au bassin avant son retrait du service actif programmé pour 2010.
Confié à DCNS, le chantier mobilise en permanence 80 personnes, dont dix ingénieurs. Une partie de l'équipage participe également aux travaux. 600 matériels sont démontés et remis en état.
La Jeanne d'Arc avait besoin d'un bon coup de peinture pour entamer cette dernière ligne droite. C'est en cours. « Pour la première fois, nous avons eu recours à un robot pour décaper la coque, signale Cyrille de Montagner, l'ingénieur navire chargé de piloter l'arrêt technique de la Jeanne. Il nous a fait gagner deux semaines de travail sur cette phase du chantier. »
Quatre à cinq couches de peinture grise et d'anti-fouling seront nécessaires pour achever le travail. L'humidité ne facilite pas la tâche des peintres qui travaillent entre deux averses.

Couche d'ozone
Des techniciens contrôlent les deux lignes d'arbres. Voici quelques années, ils avaient donné bien des soucis à DCNS et à l'équipage. L'usure prématurée des coussinets en bois de gayac nécessitait de fréquentes interventions. C'est aujourd'hui du passé. « Les choses sont complètement rentrées dans l'ordre », affirme le lieutenant de vaisseau Philippe Guerry, le chef de la propulsion.
Cette année, le gros chantier se situe au niveau du compartiment « mouillage ». Des gerbes d'étincelles signalent la présence des ouvriers soudeurs. DCNS procède au remplacement des deux installations « frigo air » qui produisent l'eau froide nécessaire pour réfrigérer la propulsion, les appareils électroniques et l'air du bord. « Ce changement est imposé par la réglementation interdisant les composés chlorés en raison de leur impact sur la couche d'ozone », précise Cyrille de Montagner.
L'ouverture d'une brèche dans la coque a permis d'évacuer les anciennes installations. Elle a été percée au niveau de la ceinture blindée du navire. Il a fallu découper de la tôle épaisse de cinq centimètres. La Jeanne d'Arc, c'est du solide !

Une caméra dans les chaudières
Dans la machine arrière, des techniciens s'affairent autour d'un turboalternateur. Ils manipulent avec précaution le rotor de la turbine de l'installation qui fournit une partie de l'électricité du bord. « Ce sont des pièces très sensibles et fragiles qui tournent à 8 200 tours-minute », signale Gilbert Morvan, le chef de chantier. Un choc risquerait de se traduire par un déséquilibre de la machine, un « balourd » susceptible d'entraîner des vibrations indésirables. La partie fixe du turbo-alternateur, le stator, sera reprise en atelier.
Passage dans le compartiment chaudières. Tout de blanc vêtu, un ouvrier referme les tapes de visite des surchauffeurs. Fonctionnant au gas-oil, les quatre chaudières constituent le coeur de la Jeanne. Elles fournissent la vapeur nécessaire à la propulsion du navire mais aussi au fonctionnement des équipements auxiliaires comme les turboalternateurs et les turbopompes. La bonne marche du navire repose sur elles. Certains tubes de chaudière sont d'origine et comptent 75 000 heures de fonctionnement. Ils ont fait l'objet d'un examen endoscopique à l'aide d'une petite caméra. « Ils sont en très bon état », indique Cyrille de Montagner.
La Jeanne d'Arc sort du bassin le 27 août. Elle restera ensuite un mois au quai industriel. La phase d'allumage commencera le 19 septembre. La mise en pression progressive des circuits demandera trois semaines. Cette phase d'allumage nécessite des précautions particulières. « Portée à 45 bars de pression et 400 °C de température, la vapeur est un fluide dangereux », rappelle Cyrille de Montagner.
Fin octobre, à l'issue des essais en mer, la Jeanne d'Arc devrait être fin prête pour sa 43e mission. Personne ne ménagera sa peine pour être exact au rendez-vous.

Olivier MÉLENNEC.
Ouest-France
http://www.brest.maville.com/Bassin-9-la-Jeanne-d-Arc-se-refait-une-sante/re/actudet/actu_loc-419770----_actu.html

2 trucs:

les coussinets en bois de gayac qui posent probleme sur les arbres d'helice ont ete remplace avec des coussinets en chene preleves sur le Victory au radoub
le teflon et la bague bronze a ete envisages, mais ca faisait trop moderne


le type habilles en blanc dans le surchauffeur n'est pas habilles comme ca pour des raisons d'elegance, c'est par ce que ce sont des tenues jetable auxquels ils est facile de rajouter un systeme de masque respiratoire.... il est isoles a quoi deja ce surchauffeur ???

SOURCE : MER ET MARINE
Marine : Un troisième BPC pour remplacer la Jeanne d'Arc ?
27/07/2007


Célèbre dans le monde entier, le porte-hélicoptères Jeanne d'Arc, navire école de la marine, subit actuellement son dernier grand carénage chez DCNS, à Brest. En 2010, le bâtiment, admis au service actif en 1964, sera désarmé après 46 ans de bons et loyaux services. Alors que la question de son remplacement se pose depuis plusieurs années, la Rue Royale étudie l'opportunité d'acquérir un troisième navire du type Bâtiment de Projection et de Commandement (BPC) pour prendre sa relève. « Il faut trouver un bâtiment où les midships et leurs homologues étrangers se regroupent et se côtoient. C'est ce qui va forger l'esprit de corps dans la marine », indique-t-on à la Marine nationale, où le remplacement de la « Jeanne » est présenté comme une nécessité. L'Etat-major ne souhaite pas, pour autant, n'importe quel type de bateau. Certains projets, comme la transformation d'un navire civil en bateau école, sont visiblement mal perçus, notamment parcequ'ils n'offrent pas les même capacités militaires et aériennes : « L'entraînement doit être réalisé sur des unités de combat car il ne s'agit pas de faire une croisière autour du monde. De plus, il est souhaitable d'obtenir une utilisation durable du bâtiment, qui puisse intervenir sur d'autres missions, qu'elles soient militaires ou humanitaires. Dans ces conditions, le concept du BPC correspond aux besoins », explique un officier supérieur.

Différentes pistes envisagées

Différentes pistes sont, ou ont été, étudiées pour assurer la succession de la Jeanne d'Arc. Ce fut notamment le cas du « groupe Jeanne d'Arc », un concept basé sur le regroupement de plusieurs unités de la flotte, une à deux frégates et un bâtiment logistique. Cette solution, à laquelle la marine a eu recours pour la campagne 1997/1998 pour cause d'indisponibilité de son porte-hélicoptères, présente un problème de budget. Il faut, notamment, disposer de suffisamment de bâtiments pour embarquer, en plus des équipages, 100 à 130 élèves : « Déployer plusieurs bâtiments de combat qui ne sont pas conçus pour cette mission coûte très cher. De plus, les effectifs de la flotte sont calculés au plus juste et on ne peut pas mobiliser chaque année des bateaux exclusivement pour la formation ». Si « tendre vers une formation maritime européenne » est une priorité pour la marine, la constitution d'un groupe école avec plusieurs membres de l'UE pose également problème, chaque pays disposant d'un mode de formation très différent. Ce concept paraît difficilement envisageable à court terme. Reste donc l'option d'un navire spécialement dédié et, en ce sens, la construction d'un BPC ne manque pas de pertinence. Bâtiment de grande taille (199 mètres pour 21.500 tonnes) et de conception modulaire, ce type de navire dispose d'importantes capacités d'hébergement, permettant l'accueil d'officiers élèves, de leurs formateurs et de l'équipage, sans oublier les locaux destinés aux cours. Les nombreux logements, prévus pour 150 marins et 450 soldats sur une longue période, serviraient également aux troupes de l'armée de Terre en cas d'utilisation du navire en dehors de sa mission d'école.

Un impératif : Réduire la facture au maximum

Les Mistral et Tonnerre, livrés en 2006 et 2007, ont déjà démontré leur important potentiel en matière de projection de forces, d'opérations humanitaires et d'évacuation de ressortissants (Opération Baliste au Liban en 2006). Conçu par DCNS et les Chantiers de l'Atlantique (désormais Aker Yards) aux normes civiles, le BPC présente par ailleurs des coûts d'exploitation très réduits, avec une forte automatisation et un équipage relativement faible (160 marins contre 600 sur la Jeanne d'Arc). La marine est très sensible à son taux de disponibilité, grâce à l'amélioration de la maintenance. L'activité annuelle des BPC atteint 5000 heures, contre 2600 pour les générations précédentes de Transports de Chalands de Débarquement (TCD). Cela représente 210 jours de mer, pouvant être porté à 350 en cas de besoins, une marge de manoeuvre très utile pour des opérations imprévues et parfois durables. Enfin, sur la question budgétaire, dans la mesure où les deux premiers navires de la série ont coûté 580 millions d'euros au ministère de la Défense (études comprises), la marine peut espérer faire baisser la facture d'une troisième plateforme entre 150 et 200 millions d'euros, soit deux à trois fois moins que le prix d'une frégate neuve. A titre de comparaison avec le secteur civil, dans sa fourchette basse, ce budget est à peine plus important (20%) que le prix d'un ferry neuf ou des navires de ce type actuellement proposés sur le marché de l'occasion.

Une ambassade et une capacité d'intervention itinérante

Véritable ambassade flottante, la Jeanne d'Arc parcoure le monde depuis 43 ans, visitant chaque année une douzaine de pays. Avant même le porte-avions Charles de Gaulle, c'est sans doute le navire français le plus connu à l'étranger. Cette fonction de représentation, très importante pour entretenir les relations militaires, politiques et économiques avec les autres pays, est doublée d'une hausse des missions « opérationnelles » réalisées ces dernières années par le Groupe Ecole d'Application des Officiers de Marine (GEAOM). Ainsi, en 2004, la Jeanne a participé à l'opération Carbet, déclenchée suite aux troubles qui ont secoué Haïti. Début 2005, le porte-hélicoptères, arrivant en océan Indien, a été dépêché en Indonésie pour soutenir les populations sinistrées par le tsunami. Le GEAOM a d'ailleurs constitué une très grande partie de l'aide militaire apportée par la France. On notera qu'à cette occasion, en raison de la destruction des infrastructures côtières, une capacité amphibie du porte-hélicoptères aurait été des plus utiles. Au cours de la dernière campagne, le navire école a, de nouveau, été utilisé à Madagascar en mars 2007 pour acheminer des médicaments et du matériel suite au passage du cyclone Indala.

Un navire pour les marins... Et l'armée de Terre

Ces quelques opérations démontrent l'intérêt de disposer d'un grand bâtiment doté de capacités importantes, notamment aériennes, naviguant six mois par an sur toutes les mers de la planète, notamment dans les régions à risques. Elles expliquent également l'intérêt des marins pour le BPC. Capable d'embarquer quatre chalands de débarquement, 16 hélicoptères et plusieurs milliers de personnes sur de courtes périodes (comme pendant les évacuations au Liban), le Bâtiment de Projection et de Commandement dispose d'un vaste hôpital embarqué, parfait pour les opérations humanitaires, ainsi que d'impressionnants hangars pouvant permettre le stockage de vivres, de matériels et de véhicules. A l'heure ou les évolutions géostratégiques laissent entrevoir une multiplication des interventions à l'étranger, un tel bateau pourrait compléter utilement les capacités de la Défense, et notamment de l'armée de Terre, pour se déployer sur les théâtres extérieurs.
Cette dernière, qui embarque de plus en plus fréquemment sur les navires amphibies de la marine, pourrait également bénéficier d'un navire école du type BPC pour assurer la formation des ses personnels, notamment des pilotes de l'Aviation Légère de l'Armée de Terre. La Jeanne d'Arc embarque d'ailleurs chaque année des éléments de l'ALAT, avec leurs hélicoptères Gazelle et Puma.

ok.... super.... magnifique expose....tout le monde est d'accord... pas cher en plus.... la mise en chantier commence quand ???

Ce serait une excellente chose et puis cela renforcerait les capacités amphibies de la France.

il va falloir que j'envisage d'ouvrir un site web supplémentaire !!!



Quel nom ?

Typhon, Tsunami, Tornade .........

le Jamais

le Peut Etre

le Pourquoi Pas

ou si vous voulez un nom europeen:

le Naturlich

ou un nom pour une ecole bateau ecole:

le Corbusier

le bahut

le Shuman (plus intelligent ca)

et Bill que pense tu du Fearless ?

clausewitz a écrit:

et Bill que pense tu du Fearless ?

fait gaffe!tu va énerver notre amis Bill avec un nom pareil....

C'est fait pour

A priori, c'est séduisant mais pour la formation au tir, comment vont-il faire?
Monter un char Leclerc sur le pont?
Pas con!

ah moins que je me trompe complètement mais j'ai jamais vu la Jeanne tirer avec ses canons de 100mm lors de la croisière donc je pense que cela sera accesoire avec la solution BPC qui sera à mon avis la plus économique du à sa construction civile et l'effet de serie obtenu par la présence de déjà deux unités.