PA R91 CHARLES DE GAULLE

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_agapanthe_2007/entrainement_djiboutien_du_groupe_aeronaval

La TF473 s'entraîne à Djibouti. Exercices pour les Rafales, SEM, Hawkeye de la MN, Mirages 2000 D et RDI de l'AA. Tirs missiles pour le Cassard et le Blas de Lezo.
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http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_agapanthe_2007/le_groupe_aerien_du_charles_de_gaulle_en_afghanistan

Les appareils du CDG ont commencé leurs vols au dessus du ciel Afghan

je connais personnellment l'ancien Alindien, dont j'ai décrit le livre dans la section concernée, et iol m'a confié que, personnellment, qu'il était contre la première mission du CDG sur l'afganistan, qui n'aurait eue lieu. que pour des raisons purement politiques. Chirac en a décidé autrement!!!!

bruno a écrit:

je connais personnellment l'ancien Alindien, dont j'ai décrit le livre dans la section concernée, et iol m'a confié que, personnellment, qu'il était contre la première mission du CDG sur l'afganistan, qui n'aurait eue lieu. que pour des raisons purement politiques. Chirac en a décidé autrement!!!!

Bonjour Bruno! Tu connais Alindien de quelle période? le précédent? Le nouvel Alindien vient de prendre ses fonctions en décembre.

d'autre part, des nouvelles du GAN
http://www.defense.gouv.fr/ema/enjeux_defense/operations_exterieures/afghanistan/breves/21_03_07_afghanistan_la_mission_agapanthe_07

Je connais L'Amiral Laurent Merer qui fut préfet maritime à Cherbourg jusqu'en juillet 2001 a pris ses fonctions d'Alindien à cette date, jusqu'en octobre 2002, et a pris en charge par la suite la préfecture maritime de Brest jusqu'en septembre 2006. Je te conseille son livre paru au Télégramme en 2006, que j'ai cité dans le post des lectures.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104220

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/breves/27_03_07_le_rafale_f2_marine_engage_dans_le_ciel_afghan

Rafales F1, F2, SEM, E2C en Afghanistan

http://www.corlobe.tk/article4860.html

échange de personnel entre le CDG et le USS Stennis

http://www.corlobe.tk/article4943.html

Echanges et exercices entre le CDG et le USS Stennis
X8)

https://www.youtube.com/watch?v=asf--7yfHEY&mode=related&search=

RAM du CDG

https://www.youtube.com/watch?v=yKgLuyhJeMs&mode=related&search=

Herakles

https://www.youtube.com/watch?v=hKjEHsEFgVI&mode=related&search=

Rafales sur le CDG

Dans le quotidien "LE FIGARO"


De notre envoyé spécial sur le « Charles-de-Gaulle »
ARNAUD DE LA GRANGE. Publié le 21 avril 2007: 21h32
AP/Marine nationale

POUR les Soviétiques, l'Afghanistan, c'était le fameux accès aux « mers chaudes ». Une vraie donnée géopolitique, un peu moins exacte géographiquement, puisque le « royaume de l'insolence » n'est pas léché directement par les vagues de l'océan Indien. Une frange du Pakistan fait écran. Une réalité dont les pilotes du Charles-de-Gaulle font la dure expérience tous les jours, lors de missions d'une durée inhabituelle. Lorsqu'ils s'élancent du pont du porte-avions français pour aller soutenir les soldats de l'Otan malmenés dans le grand Sud afghan, les pilotes de Rafale et de Super-Étendard partent pour un long vol de cinq heures en moyenne. Le Charles-de-Gaulle croise à environ 100 milles des côtes pakistanaises, soit à quelque 1 000 kilomètres de la zone de mission. Il faut d'abord prendre « l'autoroute pour Kandahar », comme le dit un pilote. En fait un « tube aérien » (driveway) de près de 60 km de large, où appareils français comme américains sont guidés par des avions Hawkeye. Le temps de transit est d'environ trois heures aller-retour. Les chasseurs remontent plein nord jusque vers l'Afghanistan. Là, ils vont s'insérer dans un dispositif allié auquel participent aussi en permanence les Rafale et Mirage 2000 français basés au Tadjikistan.
Depuis 2001, et surtout depuis l'installation de l'Afghanistan dans une vraie « petite guerre », ce dispositif aérien s'est rodé, institutionnalisé. L'ensemble du théâtre est contrôlé depuis le CAOC (Centre d'opérations aériennes) américain installé au Qatar sur la base d'al-Udeid. Une énorme machine, capable de gérer 1 000 sorties par jour et qui chapeaute aussi les opérations sur l'Irak ou la corne de l'Afrique. Les demandes d'appui aérien sont elles-mêmes transmises au CAOC par le centre d'opérations situé à Bagram, non loin de Kaboul. « Il y a toute une palette de missions, explique le capitaine de Frégate Patrick Zimmermann, qui commande le groupe aérien embarqué. La reconnaissance photo, la prévention avec l'ouverture d'itinéraires pour les convois au sol afin de déceler d'éventuelles embuscades, la dissuasion avec le»show of force*, des passages rapides à basse altitude au-dessus de regroupements hostiles. Et puis, bien sûr, la frappe en cas d'absolue nécessité. » Les avions du Charles-de-Gaulle, nourris par des ravitailleurs français ou américains, tournent environ deux heures au-dessus du Sud afghan, prêts à se voir assigner un objectif.
Pas là pour mener une guerre à outrance
Le problème aujourd'hui, ce sont les demandes accrues en « CAS (Close Air Support) urbain ou périurbain », dans le jargon des pilotes. En clair, le besoin croissant de frappes aériennes contre des talibans qui sont désormais aux portes ou dans les villages, avec tous les risques de bavures possibles à la clé. Et c'est là que les règles d'engagement françaises, souvent source de tensions avec les Américains, sont plus restrictives. Les avions français ne bombardent que lorsque les troupes au sol sont au contact. Pour réduire le risque d'erreur, les tirs sont presque systématiquement guidés par un contrôleur présent avec les troupes au sol. « Pas question, explique un officier supérieur, de frapper une maison dans un village parce qu'elle est suspectée d'héberger une réunion de talibans, encore moins une mosquée où ils se seraient retranchés. On ne va pas non plus balancer une bombe de 250 kg sur un chef taliban à bicyclette. » Une pratique d'« assassinat ciblé » admise par les Américains.
À bord du Charles-de-Gaulle, on insiste bien sur le fait que l'on n'est pas là pour mener une guerre à outrance. « Les Américains, eux, sont en guerre », poursuit l'officier. À bord du Stennis, le porte-avions américain aux côtés duquel le Charles-de-Gaulle a travaillé pendant un mois, une sorte de crypte honore la mémoire du sénateur qui a donné son nom au navire. Avec comme relique un morceau d'une bannière étoilée retrouvée dans les décombres du World Trade Center.
« Pour les Américains comme pour nous, le porte-avions permet de renforcer ponctuellement et rapidement un théâtre, explique l'amiral Xavier Magne, qui commande le groupe aéronaval français, avec un système de combat autonome et immédiatement opérationnel. » Du « plug and fight », comme le dit un autre officier : le porte-avions se branche sur un dispositif allié et peut immédiatement combattre. Dans le cas de l'Afghanistan, conflit « installé », le porte-avions n'apporte cependant pas toute sa plus-value. C'est dans une phase de crise ou de début de conflit, lorsque « l'empreinte au sol » d'autres forces est difficile, qu'il fait la différence. Mais côté français, cette mission afghane qui s'achève cette semaine a eu le mérite de faire une démonstration opérationnelle, alors que les temps sont au débat sur le deuxième porte-avions.

Le Figaro enfonce le clou sur la nécessité d'un second PA

http://www.defense.gouv.fr/marine/base/journaux_de_bord/dossier_agapanthe_2007/touch_and_go_sur_le_charles_de_gaulle

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104497

Le GAN a quitté Abu Dhabi le 24 avril, se dirige vers Djibouti puis Suez. Escale prévue ensuite à Limassol (Chypre), puis retour à Toulon.
X

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104583

Le CDG est à Chypre. Retour à Toulon le 15 mai

qu'est t-il prevu comme travaux majeurs lors du passage au bassin du cdg ?

la mise au standart PA2 : 25000 t de plus, de la place en plus et un fanion anglais sur le coté !!!

je savais bien qu'on nous cachait des choses

born to sail a écrit:

qu'est t-il prevu comme travaux majeurs lors du passage au bassin du cdg ?

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104597

en fait suffisait de demander

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104602

X07 a écrit:

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=104602

CE SOIR SUR THALASSA, (FRANCE 3): 110 mn sur le CDG!

Une chance à vous de me voir

exellent reportage, enfin on parle de l'humain, un petit bémol,j'aurais aim' qu'on parle plus des militaires qui font avancer ce navire : atomiciens, mecanos , fusibles, navigateurs et timonier, sans oublier les detecteurs et la vie des carrés.

Oui, très bon reportage.

Une question : Pour le personnel de pont, les hommes en bleue, j'ai remarqué qu'ils avaient un casque en 2 parties ( le casque est ouvert d'une oreille à l'autre).

Pourquoi un casque en 2 morceaux?

Je crois que sur le Foch et le Clem, c'était la même chose



Jef

Bonjour

J'ai suivis avec attention le reportage sur le Charles de Gaulle, j'ai l'impression que seul les "beaux "coté du métier ont été montré, j'ai navigué pendant 3 ans sur un chasseur de mine, heureusement pas de femmes à bord, les poste de navigant devrais être réservé au homme