On peut surfer, avec une très grande modération, sur les sites russes et, ce, en disposant de la trousse d'urgence - notamment l'habitude acquise à contrer les éventuelles incursions malvenues! -.
La solution la plus "simple" consiste à fermer son PC... sous réserve qu'on n'y parvienne!
Si cà ne marche pas avec les touches et "interrupteurs" dédiés, on débranche tout, électriquement, et on laisse le PC roupiller dix minutes - de toute manière, çà rafraichit sa mémoire!
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En principe, les "véroles", actuellement en circulation, ne résistent pas à cette coupure "brutale"', mais çà n'a pas, toujours, été le cas, car il y a une grosse quinzaine d'années de cà, il existait des "saloperies", qui redémarraient dès qu'on relançait Windows
; ce qui, au passage, avait, alors, fait la fortune d'Apple, dont le système d'exploitation n'était pas victime des brèches, où s'introduisaient ces virus ourdis par quelques malveillants mal intentionnés.
De nos jours, Windows est, largement, aussi sûr que Apple, sauf que son exploitation étant plus importante que celle de ses "concurrentes", Apple ou Linux, il y a, toujours, un risque à se balader, sans expérience sérieuse, sur des "nappes" étrangères.
Sur les sites russes - que je suis le premier à fréquenter, depuis plus de 15 ans... mais avec un maximum de circonspection! - de nos jours, il y a toujours le risque du spam "véroleur"! Ce n'est, en tant que tel, ni un troyen, ni un virus, mais une cochonnerie qui va te "pourrir la vie" avec un site de boules intempestif ou une soit-disant alerte "Windows", qui te gueule brutalement dans les oreilles et bloquent toute manoeuvre
normale de sortie, telle que retour en arrière, fermeture de page Oueb, Escape!
L'unique solution se résume, alors, à fermer "intempestivement" le PC, quitte à le débrancher! Les programmes anti-virus les plus pointus ne résistent pas à ce genre d'intrusion - conçues pour les contourner! -, mais, désormais, les coupures "ADSL" et électriques du PC traitent, généralement, le problème.
Par le passé, il fallait charger des "patches" - quand on y parvenait! -, pour neutraliser ces troyens, mais les sécurité Windows, désormais, en place, les bloquent à 95-98%; néanmoins, il reste, toujours, un pourcentage de faiblesse du système! -.