Brest ... en 1916

Bonjour
Comme je ne connais pas les copyright, je ne mets que le lien vers le site
http://477768.livejournal.com/3596972.html
Régalez-vous
A+

Merci.

Cette photo n'étant pas commentée; il s'agit du lancement des canonnières l'Inconstant et Ardent ; pour le autres vous avez les identifications: cuirassé Lorraine; le croiseur Guichen en travaux, et le torpilleur l'Aventurier.

Toutes ces installations se trouvaient-elles sur la rive droite de la Penfeld?
Qui a des photos du château à cette époque ?
A cette époque la rue de Siam n'avait aucun rapport avec celle d'aujourd'hui elle était étroite et sinueuse c'était la rue de Siam de Barbara !

Starshiy a écrit:

[…] Comme je ne connais pas les copyright, je ne mets que le lien vers le site […]

Mais c'est tout aussi intéressant. Les sites russes constituent vraiment une précieuse mine d'in formation !

pour la 18 ieme photo
on voie des obus être tremper !
qu elle qu un a une idée de se qui leur est fait ?

Gilles17137 a écrit:

Toutes ces installations se trouvaient-elles sur la rive droite de la Penfeld?
Qui a des photos du château à cette époque ?
A cette époque la rue de Siam n'avait aucun rapport avec celle d'aujourd'hui elle était étroite et sinueuse c'était la rue de Siam de Barbara !

DahliaBleue a écrit:

Starshiy a écrit:

[…] Comme je ne connais pas les copyright, je ne mets que le lien vers le site […]

Mais c'est tout aussi intéressant. Les sites russes constituent vraiment une précieuse mine d'in formation !

valdechalvagne a écrit:

pour la 18 ieme photo
on voie des obus être tremper !
qu elle qu un a une idée de se qui leur est fait ?

Pour Dahlia (honneur aux dames!) Oui, mais dommage que l'on n'ait jamais mention de leur origine
Pour Gilles, oui, à priori
Pour Valdechalvagne Aucune idée. A la photo précédente, il est simplement indiqué que l'on procède à la charge des obus. Ce qui est proprement très étonnant, vu l'absence de toute sécurité. Une explosion aurait un effet très dévastateur.
A+

Il est vrai que le travail sur les obus parait assez artisanal; je supposais qu'ils n'était pas chargés; mais si ce n'est pas le cas cela est très étonnant en effet, a priori ce sont donc des ouvrières et des ouvriers français qui manipulent ces obus sans vergogne!

attention faut penser comme a l’époque en voyant ses photos ! sécurité  neant !!
pour les obus j avais penser a une trempe pour durcir l'acier , mais pas de vapeur rien du tout !!
je me pose la question , si se n est pas de la cire ou un vernie , qu elle que chose comme ça , pour empêcher l’humidité de rentrer et détériorer l'explosif !

version original je pense !!

http://www.ecpad.fr/les-activites-du-port-de-brest-le-travail-a-larsenal-dans-le-port-de-commerce-les-mouvements-de-navires-en-rade/

http://archives.ecpad.fr/les-activites-du-port-de-brest-le-travail-a-larsenal-dans-le-port-de-commerce-les-mouvements-de-navires-en-rade/

et donc il s'agit du dégraissage des obus !! j avais tout faut

Je me disais aussi que je connaissais ces photos, vous avez raison ce sont des photos ECPAD

Du coup, ma très grande méfiance vis à vis des copyright sur ce site se trouve confirmée !

Starshiy a écrit:

Du coup, ma très grande méfiance vis à vis des copyright sur ce site se trouve confirmée !

À savoir que ce site russe n'a a priori aucun droit à faire valoir ?

DahliaBleue a écrit:

Starshiy a écrit:

Du coup, ma très grande méfiance vis à vis des copyright sur ce site se trouve confirmée !

À savoir que ce site russe n'a a priori aucun droit à faire valoir ?

Je confirme, les Russes n'ont, strictement, rien à "secouer" des copyrights, idem pour les ouvrages!
Un vieux souvenir de l'ex-URSS.

Loïc Charpentier a écrit:

[…] Je confirme, les Russes n'ont, strictement, rien à "secouer" des copyrights, idem pour les ouvrages!
Un vieux souvenir de l'ex-URSS. : lol!:

C'est pour ça que les éditeurs de bouquins s'évertuaient,k à l'époque, de toujours spécifier : « Tous droits de reproduction réservé pour tous pays, y compris l'URSS. » ?

En l'occurrence, cette mise en ligne de documents ECPAD ne les transforme pas en "propriété" russe.

DahliaBleue a écrit:

En l'occurrence, cette mise en ligne de documents ECPAD ne les transforme pas en "propriété" russe.

Tout à fait, mais la moindre des politesses serait d'indiquer l'origine de ces documents... comme je le fais sur mon site bien que ce soient le plus souvent des docs soviétiques ou russes

DahliaBleue a écrit:

C'est pour ça que les éditeurs de bouquins s'évertuaient,k à l'époque, de toujours spécifier : « Tous droits de reproduction réservé pour tous pays, y compris l'URSS. » ?

En l'occurrence, cette mise en ligne de documents ECPAD ne les transforme pas en "propriété" russe.

Non, effectivement, mais, après, il convient de faire la distinction entre un usage "commercial" (publications d'ouvrages, de magazines) et l'utilisation d'une copie en basse résolution pour "information" (sans intention lucrative!).

Dans le domaine des droits à l'image réservés, l'ECPAD détient le pompon, avec le Bundesarchiv, en termes de coût de publication et de règle d'utilisation (indication obligatoire du N° du cliché, du nom de son auteur (photographe), etc.), sachant que le prix d'utilisation varie selon que c'est pour un magazine, un livre et le nombre d'exemplaires prévus à l'impression. On arrive, avec ces barèmes, à des coûts unitaires de 25 €/pièce, ce qui pour une publication où sont insérées 200 photos, flirte, allègrement, avec les 5000 roros, sachant qu'en cas de réutilisation, on crache, à nouveau, au bassinet! Le plus amusant de l'histoire est, par exemple, l'existence en Pologne, Belgique, Pays-Bas, etc. de collections très officielles de musées ou d'archives nationales, qui disposent, également, de copies originales d'un grand nombre de clichés du Bundesarchiv, dont l'usage professionnel revient entre 2 et 7 €/pièces!! Toutes ces collections disposent d'un site dédié, où il suffit de passer commande, sans devoir se cogner les arcanes administratives évoquées...Devinez la suite?
L'US NARA, l'IWM ont des règles sont beaucoup plus souples, on paye une seule fois, à l'achat, un prix fixe unitaire (cliché ou DVD) pour les droits d'utilisation et, après, vogue la galère.