les tourelles

voila, nous avons parlé des navires mais rarement du système d'arme dans ses details
moi je trouve que pour les navires de guerre avec canon (en fait sans canon c'est un bateau de croisière )

je trouve que se qui fait la beauté d'un navire, outre ses formes, c'est ses tourelles, et la pour moi les tourelles allemande sont pour moi les plus belles, elles on de la gueules si vous me passé l'expression.

vos avis?

qu'est ce qui pour toi n'est pas "beau" sur un navire teuton ?

Peut-on parler de "beauté" pour ce genre de chose ? Ne devrait-on pas parler d'efficacité ?

non je parle de beauté pour leur gueule sans plus, car leur caractéristiques ne depende pas vraiment de leur gueule non

Je ne sais pas si il y a avait réellement une recherche artistique lors de la construction de cuirassés ou autre...
Mais il est certain qu'un Jean-Bart est difficilement comparable à un Révolution d'Octobre (ex-Gangut russe)...

si vous avez des photos pour illustres vos propos c'est encore mieux

Salut à tous , j avais pas vu ce sujet , mais la plus belle tourelle.............

C'est bien cette tourelle

non

les bâches gâchent tout je pense.
pour moi c'est celle des allemands qui on plus de gueule.
tirpiz etc etc

Finalement, la beauté c'est bien tant qu'on veut mais c'est subjectif et ce n'est pas ce qui fait gagner les batailles. La bonne tourelle est belle parce-qu'elle est fonctionnelle, elle assure le maximum de protection mettant à profit le plus que possible l'épaisseur des cuirasses et est facile à construire.

Cela pour ce qui concerne la théorie universelle; dans mon cas spécifique, j'aime pas les formes carrées sur des navires, car elles dénaturent une machine faite pour vivre dans un milieu fluide d'eau et d'air; c'est la raison pour laquelle les tourelles que je trouve le plus réussies du point de vue esthétique sont les anglaises de la Grande Guerre, comme celles du Warspite ci-dessous



Mais celles des Provence ne défigurent pas non plus



De meme, je préfère les tourelles du Giulio Cesare que celles du renommé Roma





Les plus moches étaient sans doute les allemandes de la Hochseeflotte: si elles étaient presque belles vue d'en face, elles étaient des tiroirs d'armoire vues de coté

bonsoir
c'est vrai, elles étaient moches; mais fichtrement efficaces !
moi, j'ai un faible pour les 280 triple des Deutschland et Scharnhorst.
la beauté du fonctionnel.

JB52 a écrit:

[…] C'est bien cette tourelle […]

adama a écrit:

non […] les bâches gâchent tout je pense.[…]

«les bâches» ? Voudrait-on parler des braies en cuir des sabords des canons (et des collerettes) ?

lowlow a écrit:

Je ne sais pas si il y a avait réellement une recherche artistique lors de la construction de cuirassés ou autre […]

warburton a écrit:

[…]moi, j'ai un faible pour les 280 triple des Deutschland et Scharnhorst. la beauté du fonctionnel.

En architecture navale, le souci premier n’est certainement pas artistique. Mais ce dernier peut s’obtenir tout naturellement. Marcel Dassault ne disait-il pas : "Un bel avion est un avion qui vole bien" ?
Reste alors à apprécier ce qu’est un bel avion (ou un beau bateau…).

Lucio a écrit:

Finalement, la beauté c'est bien tant qu'on veut mais c'est subjectif et ce n'est pas ce qui fait gagner les batailles. La bonne tourelle est belle parce-qu'elle est fonctionnelle, elle assure le maximum de protection mettant à profit le plus que possible l'épaisseur des cuirasses et est facile à construire.[…]

La beauté, ce n’est pas si subjectif que ça. Il y a des canons de la beauté (qui sont variables, avec le temps et la géographie) mais aussi qui découlent directement du nombre d’or (1,618…), proportion mathématique parfaitement rationnelle. Ce n’est pas à un Italien que je vais apprendre ça (n’est-ce pas Léonardo da Vinci ?).

bon je deterre un de me poste car une photo paru dans un quizz( cuirassée de béton) ma donné une idée, ou plutôt une envie.


avez vous des photos de tourelles "marine" installé à terre, je parle pas de canon seul mais de tourelle( mais des canon contre navire c'est bon aussi), je sais que l'une du tirpiz était réutilisé mais pas plus.

bonsoir
dans "French Warships of WW-II" de Jean Labayle Couhat (Ian Allan 1971), page 157: photo d'une tourelle double de 340 installée au Cap Cépet près de Toulon. sur le net on peut trouver l'image d'une tourelle de 406 de la Batterie Lindemann, près de Calais.
c'est tout pour l'instant. à suivre (comme on disait à la fin des BD).

deux liens
http://commons.wikimedia.org/wiki/Category:28_cm_SK_C/34
http://hela.com.pl/galerie/trondenes/trondenes-no.htm

https://www.youtube.com/watch?v=rB0K5DgjNrE
pas mal non plus mais la tourelle elle viens d'ou?

bonsoir
à priori Gneisenau.

mais il à été coulé le bougre non

ba apparemment il y a une tourelle qui flottait encore

il a d'abord été désarmé.
@ xorm

non pas coulé elle furent prélevées (deux en norvège et une en hollande) car elle devaient être remplacé par des double de 380mm mais la RAF en décida autrement, elle n'avalais pas l'opération cerbere

La RAF ne renonce JAMAIS

Voici une des tourelles triples de 280mm du Gneisenau démontée pour être remplacée par des tourelles doubles de 380mm ce qui ne s'est pas fait en définitive; les tourelles débarquées ont été utilisées en Norvège.

Alain

Avec la mise en chantier de l’Atlantik Wall (Mur de l’Atlantique), la Heer constituera, le 10 septembre 1942, l’inspection des troupes de forteresse, In Fest (Festungen : forteresses) sans numéro d’ordre mais dont l’artillerie (Festungartillerie) restera subordonnée à l’In 4 (Artillerie)

Il y a eu, effectivement, quelques positions (célèbres), du dispositif Atlantik Wall, dotées de pièces de marine voire de tourelles "sans emploi" mais, pour l'essentiel, l'artillerie côtière était constituée de "vieilles" pièces, souvent peu manœuvrables en tant qu'artillerie de campagne mais parfaitement efficaces sur position fixe, ou de pièces de prises, telles que les 155 GPF, capturées durant la Campagne de France. De plus, tous les régiments d'artillerie divisionnaire, stationnés en France, entre l'automne 1940 et 1944, se voyaient "dépouillés" de leurs s.Abteilungen (traduction approximative française : bataillon lourds), généralement dotées de 15 cm s.FH 18, obusiers lourds de 150 mm, qui étaient "provisoirement" affectées à la Küstenartillerie, l'artillerie côtière, qui sera, en 1942, elle-même rattachée à la Festungartillerie (Artillerie de forteresse).