MAMELUK torpilleur 1939-1942

Bonjour.
Je vous propose quelques photos inédites du MAMELUK :

Il y a 6 autres photos de ce torpilleur que j'ai déposées sur ce site à deux endroits différents :
Histoire - Les Navires 1922-1950 - Mameluk ou Mameluck,
Histoire - Les Navires 1922-1950 - navire à identifier.
J'ai aussi déposé 3 photos sur le site ALAMER.

J'espère qu'elles vous auront intéressé.
Bon voyage.
Christiane

VAN DEN BROCKE a écrit:

Il y a 6 autres photos de ce torpilleur […]
Histoire - Les Navires 1922-1950 - Mameluk ou Mameluck,
Histoire - Les Navires 1922-1950 - navire à identifier.
J'ai aussi déposé 3 photos sur le site ALAMER.
J'espère qu'elles vous auront intéressé. […]

Parfaitement !

VAN DEN BROCKE a écrit:

En automne 1942, ils devaient avoir froid au postérieur, pour venir ainsi se le réchauffer contre le capot de la cheminée !

Quoique, en automne, c'est à dire à partir du 1er octobre, il ne fait pas froid à Toulon.
Il ne leur restait plus qu'à peine de 2 mois à vivre sur ce navire, mais ça, ils ne le savaient pas...

Non DahliaBleue, les capots de cheminée ça n'est pas là ou ces marins se réchauffent le postérieur ! Les capots sont des tôles que l'on met en place pour obturer les conduits de cheminées quand le bâtiment reste longtemps au mouillage à quai. Je ne sais pas si cet endroit avait un nom à l'époque, mais sur les bâtiments ou le haut de la cheminée était arrondi (E.E, E;50 Croiseurs.....) on appelait cet endroit le "gland" he oui, on se demande bien pourquoi !
Une anecdote pour sourire: Sur le COLBERT, la tôlerie de cette partie de cheminée dangereuse car très oxydée avait été refaite par la DCAN après beaucoup de difficultés et surtout grâce à l'insistance du chef machines à un point tel que cette partie de tôlerie était un peu devenue "sa chose". La DCAN avait d'abord refusé puis fut contrainte à effectuer le travail.
Quelques temps après, en discutant au Carré sur les activités de l'équipage au mouillage, j'en vins à parler de mes bonhommes qui étaient entrain de nettoyer la cheminée et absolument sans le vouloir je dis quelque chose comme:
"mon équipe astique le gland du chef". Bien entendu, grand éclat de rire dans le Carré avant que je me rende compte de ce que je venais de dire. J'ai le souvenir que le Midship a consigné ce trait d'humour bien involontaire dans le "Cahier des fortes paroles".

jean veillon a écrit:

[…] les capots de cheminée ça n'est pas là ou ces marins se réchauffent le postérieur ! Les capots sont des tôles que l'on met en place pour obturer les conduits de cheminées quand le bâtiment reste longtemps au mouillage à quai. Je ne sais pas si cet endroit avait un nom à l'époque[…]

Bonne question. Il serait intéressant de retrouver le nom exact de cet accessoire de l'appareil évaporatoire. De l'époque, ou encore d'actualité.

VAN DEN BROCKE a écrit:

Quoique, en automne, c'est à dire à partir du 1er octobre, il ne fait pas froid à Toulon.
Il ne leur restait plus qu'à peine de 2 mois à vivre sur ce navire, mais ça, ils ne le savaient pas…

… et jusqu'au 21 décembre…

Mais, en effet, si ça ne peut pas être plus tard que le 25/26 novembre, il y fait apparemment quand-même un peu frisquet : le jersey est de rigueur !… Toussaint ou mi-novembre, peut-être ?

et comme les autres navires de Toulon, il a passé beaucoup de temps au mouillage pour un entrainement comme en mer mais chaudière éteinte pour économiser le mazout

Citation :

[…]

david a écrit:

et comme les autres navires de Toulon, il a passé beaucoup de temps au mouillage pour un entrainement comme en mer mais chaudière éteinte pour économiser le mazout

Effectivement. Et les entraînements "au mouillage" se passaient souvent aux Salins. Et étaient surnommés « Campagne des Salins… »

Ce qui semble être le cas ici.

Mais, même au mouillage il fallait un minimum d'énergie. Et, si bas les feux, une chaudière auxiliaire pour le chauffage.

de mémoire l'échappement de la chaudière était près de la première cheminée et là, ils semblent au sommet de la deuxième