Commentaires rubrique photo

Possible en effet, quoique de nombreux films ont été tournés sur les navires japonais survivants et sur les épaves par les US à aucun moment ont ne voit une telle structure sur un autre navire me semble t'il.

NIALA a écrit:

Possible en effet, quoique de nombreux films ont été tournés sur les navires japonais survivants et sur les épaves par les US à aucun moment ont ne voit une telle structure sur un autre navire me semble t'il.

Ce n'était juste qu'une hypothèse, en se fondant sur l'incongruité d'une telle installation pour une usage exclusivement militaire.
En cherchant bien dans les archives US Navy, jamais diffusées publiquement, on pourrait bien tomber sur un film ou des séries de photos relatant le fonctionnement de l'ascenseur du Kasagi. Connaissant une bonne part de tout ce que les équipes de renseignements techniques de l'US Army ont pu "mitrailler", en 1945, à propos du matériel allemand, çà ne m'étonnerait qu'à moitié.

Loïc Charpentier a écrit:

[…] séries de photos relatant le fonctionnement de l'ascenseur du Kasagi. Connaissant une bonne part de tout ce que les équipes de renseignements techniques de l'US Army ont pu "mitrailler", en 1945, à propos du matériel allemand, ça ne m'étonnerait qu'à moitié. ; )

Pas impossible, en effet.
Mais cette passerelle semble un peu surdimensionnée pour s'adonner à une (ou plusieurs) séance(s) de…

… photos :

DahliaBleue a écrit:

[
Pas impossible, en effet.
Mais cette passerelle semble un peu surdimensionnée pour s'adonner à une (ou plusieurs) séance(s) de…

Cà évite de jongler avec la longueur de focale.
Euh... d'où proviennent ces tourelles sur le cliché "couleurs" ?... Les Américains sont les spécialistes des commissions de contrôle de désarmement avec enregistrement à la clef; ça pourrait, éventuellement, expliquer la présence de la passerelle.

La série de photos sur la Lorraine est superbe sauf que la première photo ne la représente pas dans son état d'origine .

Elle est admise provisoirement en service sans canon dans la tourelle V

Bonjour david, c'est exact, toutefois j'ai précisé que la photo la représentait en 1919; alors qu'elle est entrée en service en mars 1916, j'ai signalé le suppression des filets bullivan, j'ai oublié de dire qu'en 1916 il lui manquait les deux canons de la tourelle V.

à propos des croiseurs britanniques

LE BRETON a écrit:

HMS RALEIGH […] à Vancouver 1921 à Washington en 1922 […]

Pour l'escale à Washington en 1922, j'observe un laisser aller certain dans la tenue du poste de bande…

à propos des destroyers nipponais

NIALA a écrit:

[…] L'Harutsuki lors de ses essais en décembre 1944 […].

Sa tourelle n°2 était étrangement "ficelée" : raccordée à la passerelle par un câble ? électrique ? Une commande de secours ? Un capteur pour les essais ?

Effectivement il y a un câble reliant la tourelle n°2 à la passerelle, il semble que ce soit le cas sur toute la classe Akitsuki ; sous réserve parce que beaucoup de photos ne sont pas assez nettes pour le voir, je ne sais pas quelle était son utilité.

bonjour
intrigué par cette histoire de "lance-bombe (Jacob van Heemskerk), j'ai voulu en savoir plus.
il semble bien qu'il s'agisse d'un mortier "BL" (!) de 75 mm (origine Krupp).
Loïc pourra sans doute approfondir…

warburton a écrit:

bonjour
intrigué par cette histoire de "lance-bombe (Jacob van Heemskerk), j'ai voulu en savoir plus.
il semble bien qu'il s'agisse d'un mortier "BL" (!) de 75 mm (origine Krupp).
Loïc pourra sans doute approfondir…

Re-bonjour,
Ce serait avec plaisir mais je reste sec sur le sujet.
Que ce soit du Krupp ne m'étonne pas plus que çà, par contre je ne dispose pas d'infos sur toutes les productions de la firme.
En 1914, l'armée allemande est montée au front sans mortier d'infanterie, tout au moins tels qu'ils seront conçus deux ans plus tard (système Brandt, un tube, muni d'un percuteur fixe, dans lequel on "laisse tomber" la torpille) ; c'est pour cette raison que j'avais envisagé la technique lance-bombes type "crapouillot". Si la Reichsheer avait disposé d'une telle arme, au calibre de 7,5 cm - donc, à priori, facilement transportable par une équipe de deux ou trois hommes -, elle ne s'en serait surement pas dispensée.

le Sheffield… l'un de mes croiseurs préférés. je me suis toujours demandé pourquoi les Britanniques ont préféré conserver le Belfast.
non seulement je le trouve plus élégant (on a l'impression qu'il manque une cheminée sur les Belfast), mais sa carrière me semble avoir été plus glorieuse.
j'aurais aimé qu'il devienne musée aux côtés du Warspite. je sais qu'hélas, l'état de ce dernier ne le permettait pas, mais pour le Sheffield, je n'ai jamais compris.
je continue à suivre la série des destroyers anglais, mais - rien à faire - je ne me fait pas aux destroyers britanniques "modernes" (je veux parler de ceux d'après 1942   ); je leur préfère les anciens (des V/W aux J/K/N, Tribal et M/L).
pratiquement obsolètes dés le début du conflit, ce sont eux qui vont supporter les plus dures épreuves. les pertes subies le prouvent indéniablement. pour moi ces petits navires sont légendaires. seuls les Gearing et T.47 / T.53 m'ont plu depuis.
les "furtif", c'est sans doute très bien, mais ce n'est vraiment pas beau (à mon avis).

@ Loic
ces "lance-bombe" n'ont peut-être été fabriqué que pour la marine batave…
je vais essayer de trouver d'autres informations.

Totalement d'accord avec warburton, je préfère nettement le Sheffield au Belfast; c'est vrai que le Warspite et le Sheffield comme musée çà aurait eu de l'allure.

warburton a écrit:

le Sheffield… l'un de mes croiseurs préférés. […]
non seulement je le trouve plus élégant (on a l'impression qu'il manque une cheminée sur les Belfast), […].

Une troisième, donc, et plus en avant ? Ou simplement aurait-il fallu translater la cheminée arrière vers le bloc passerelle ?

à propos des destroyers britanniques

LE BRETON a écrit:

HMS DUCHESS (Classe Daring) […] […] prêté à la RAN le 5 mars 1964 en remplacement du VOYAGER ; Australian 2nd DS 1964-1972 ; acheté par la RAN en juillet 1972 […] Marque de coque : I.94 ; D.1954 […]

… pas "D.1954" mais D154 ; auquel il faut ajouter : "154" tout court, arboré lorsqu'il a servi sous pavillon australien ; on remarquera que seul l'identifiant "D" aura alors disparu de la marque, et que le quantième du symbole sera grandement avancé vers la proue, tout en ayant adopté un graphisme étasunien.

bonsoir
les escorteurs japonais: entre le Nashi et le croiseur Nachi… la différence ne me saute pas aux oreilles.
cela ne pouvait-il pas créer des confusions (radio, par exemple) ?
c'est dans cette crainte que les Britanniques ont rebaptisé le Handy qui aurait pu être confondu avec le Hardy.
mais il est possible que la prononciation japonaise de ces deux noms soit sans équivoque… quelqu'un sait ?

warburton a écrit:

[…] entre le Nashi et le croiseur Nachi… la différence ne me saute pas aux oreilles. […] mais il est possible que la prononciation japonaise de ces deux noms soit sans équivoque… quelqu'un sait ?

高木 Takagi, sans aucun doute !

Il est également possible qu'en opération on utilise (même à l'époque) des indicatifs radio sans rapport avec le nom.
Ce qui se fait en tout cas dans les marines occidentales.

warburton a écrit:

bonsoir
les escorteurs japonais: entre le Nashi et le croiseur Nachi… la différence ne me saute pas aux oreilles.
cela ne pouvait-il pas créer des confusions (radio, par exemple) ?
c'est dans cette crainte que les Britanniques ont rebaptisé le Handy qui aurait pu être confondu avec le Hardy.
mais il est possible que la prononciation japonaise de ces deux noms soit sans équivoque… quelqu'un sait ?

Le SHI est à mi-chemin entre le SI et le SHI (prononcer SI en serrant les dents puis sans bouger la bouche essayer SHI...) Dans les syllabaires, il est dans la famille des "S" (SA SHI SU SE SO).
Le CHI se prononce clairement TCHI. Dans les syllabaires, il est dans la famille des "T" (TA CHI TSU TE TO).
C'est pourquoi ces deux syllabes sont transcrites différemment dans le système Hepburn : SHI, CHI.

Donc NASHI ne peut pas être confondu avec NACHI.

bonsoir
merci de me m'avoir pas laisser croupir dans l'ignorance. même si je subodorais cette explication, je n'avais aucune certitude.

bonjour
navires suédois:
l'aspect du Manligheten après sa refonte de 1941 est impressionnant. vu de loin (et sous cet angle), il aurait pu passer pour un grand navire moderne.

encore moi
superbe, l'article "marine thaïlandaise".

à propos des cuirassés austro-hongrois

NIALA a écrit:

Cuirassé austro-hongrois Wien […]
Le cuirassé Wien, on remarquera à coté, ce qui fait la curiosité de cette photo, le sous marin U14 qui n'est autre que l'ex-Curie sous-marin français […]

… et qui nous avait intrigué par la disposition spéciale de ses tubes lance-torpille orientables ?

à propos des croiseurs britanniques

LE BRETON a écrit:

HMAS PERTH

Le Perth (de la classe PERTH) porte, peint sur deux de ses tourelles (la 'B' et la 'X'), l'indicatif visuel 'PA'.
Le doublet final de son indicatif radio ?

à propos des gardes-côtes argentins

NIALA a écrit:

Les gardes-côtes cuirassés de la classe Libertad […]
Le garde-côtes cuirassé Libertad […] Le Libertad […] est désarmé en décembre 1946 ; il est utilisé comme stationnaire pour les pilotes de la Plata jusqu'en 1968.
Le garde-côtes cuirassé Independencia […] L'Independencia […] est désarmé en 1951 ; il est utilisé comme stationnaire des pilotes de 1951 à 1968 ; […].
L'Independencia en 1961, l'ancien cuirassé tout comme son sister-ship est reconverti depuis 1951 en station de pilotes.

Le qualificatif de « station de pilotes » me paraît en effet préférable au terme « stationnaire » plus haut utilisé ;  dans le contexte naval qui nous est ici familier, ce dernier a un sens différent et précis (celui d'une unité navale déployée en station - plus ou moins - lointaine).
Je me demande d'ailleurs si, pour l'ultime fonction de ces gardes-côtes, le terme adéquat n'est pas : « station(s) de pilotage »…

J'ai cherché un terme français approchant convenant aux fonctions nouvelles de ces navires étant donné que ma source était en espagnol, merci d'avoir rectifié.