| | Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey | |
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Francis Marliere Premier Maître
Nombre de messages : 731 Age : 50 Ville : Tourcoing Emploi : Fonctionnaire Date d'inscription : 21/09/2005
| Sujet: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Jeu 20 Déc 2007, 12:05 | |
| Bonjour à tous,
voici le compte-rendu du deuxième engagement de la campagne :
Pendant que la Force B de la Home Fleet (Duke of York, Victorious) est lancée à la poursuite de l’escadre de Brest (Scharnhorst, Gneisenau), la Force A (King Georges V, Renown), commandée par l’amiral Tovey tente d’intercepter une autre force navale allemande (Tirpitz) qui effectue une sortie de diversion au nord de l'Islande. Celle-ci a fait demi-tour et, sans le savoir, se dirige droit sur ses poursuivants. L'amiral Tovey a disposé ses unités lourdes en ligne au centre de l'escadre, protégées par un rideau de sous-marins. Les deux croiseurs lourds Kent et Berwick sont placés à une quinzaine de nautiques sur les flancs de l'escadre pour optimiser la couverture radar.
Le 29 février à 0612, alors que la Force A se trouve à une cinquantaine de nautiques de l'île Grimsey, le Kent sigale par radio un écho radar à 35.000 yards à l’ouest. Aussitôt, Tovey donne des ordres pour intercepter les navires vers 0800, lorsque le soleil se lèvera. Sur le Tirpitz, des émissions radar suspectes sont détectées ; l'équipage est appelé aux postes de combat et la vitesse est poussée à 20 noeuds.
A 0700, l'amiral Tovey change de plan ; estimant que sous le couvert de l'obscurité et du mauvais temps ses destroyers peuvent réussir à torpiller le Tirpitz, il passe outre les objections de son état-major et opte pour un combat de nuit. Les six destroyers britanniques reçoivent donc l'ordre de mettre le cap vers le Tirpitz à grande vitesse et de l'attaquer à la torpille. De son côté, l'amiral Cilliax ordonne un changement de cap vers le sud-est. Ces ordres respectifs vont accélérer la prise de contact et changer la nature de l'affrontement.
La phase de combat proprement dite commence à 0727 lorsque le Kent, le Berwick et l'Eclipse détectent visuellement le Hipper et le Scheer. Malheureusement pour l'escadre britannique, elle n'a pas eu le temps de s'organiser convenablement. Les destroyers, dépourvus de radar, n'ont qu'une vision partielle du champs de bataille, et les croiseurs ne se sont pas encore rejoints. Décidant de pousser l'avantage de la surprise, les commandants anglais décident tous de ne pas ouvrir le feu pour le moment et d'attendre le moment idéal. Ils attendront trop.
A 0730, le Hipper et le Scheer détectent les navires britanniques les plus proches. Le Hipper illumine le Kent avec son projecteur et l'engage avec ses deux tourelles avant. En même temps, il tire plusieurs obus éclairants au dessus de l'Eclipse et tire sur les destroyers avec ses pièces de 105 et ses tourelles arrière de 203. Le Scheer de son côté engage le Kent avec sa tourelle avant et l'Eclipse avec son artillerie secondaire, mais sa ligne de tir est rapidement bloquée par le Hipper et il doit cesser le tir. Les deux navires allemands, à qui l'amiral Cilliax a donné liberté de manoeuvre, ont en effet entamé des manoeuvres antagonistes les amenant sur un cap de collision, le Hipper virant sur bâbord et le Scheer sur tribord.
Ils ne sont pas les seuls d'ailleurs. A 0731, suite à divers changements de caps impromptus et imprudents, il apparaît que les routes du Kent et de l'Eclipse mènent à une collision frontale à brêve échéance. Ce n'est pas la seule mauvaise nouvelle pour les britannique. Si les destroyers n'ont subi que des dommages superficiels, le Kent a encaissé plusieurs obus de 203 et 280 mm qui ont infligé des dommages substantiels. Pendant ce temps, le Berwick, qui s'éloigne des navires allemands (alors qu'il a reçu l'ordre de les torpiller), enrage de ne pas pouvoir ouvrir le feu car sa ligne de tir est bloquée par le Kent. Pareillement, la deuxième division de torpilleurs, masquée par l'écran de fumée qu'émettent maintenant l'Eclipse, l'Echo et le Foxhunter est incapable de prendre part au combat, faute de savoir où est l'ennemi.
Les croiseurs allemands, qui évitent de peu la collision, continuent à tirer sur le Kent et sur les destroyers. Cependant, le Hipper divise trop son tir et n'atteint aucun des trois torpilleurs qu'il visait, tandis que le Scheer doit cesser le feu après la première salve pour éviter les tirs fratricides. Les ennuis continuent pour la Royal Navy, qui commence bien mal l'engagement. Le Kent, qui encaisse deux autres obus de 280 mm et six de 203 mm, décide d'abattre sur bâbord, alors que l'Eclipse, qui arrive en sens contraire, vire à tribord. Malgré les efforts des skippers, le destroyer percute l'arrière du croiseur à 0732. Pendant ce temps, deux croiseurs et trois destroyers ouvrent le feu sur le Hipper. Leur tir est raisonnablement précis et le bâtiment allemand est atteint par près d'une vingtaine d'obus de 203, 120 et 102 mm. La chance est à ce moment du côté allemand, car celui-ci s'en tire avec des dégâts superficiels qui n'entament aucunement ses capacités à se battre. Le Fury et ses deux acolytes sont toujours aveuglés par l'écran de fumée émis plus au nord par la division de l'Eclipse. Sur la passerelle du King Georges V, on enrage de ne pas pouvoir engager les bâtiments allemands, involontairement protégés par les destroyers britanniques qui bloquent la ligne de vue et de tir des navires de ligne.
A 0732, l'artillerie secondaire du Tirpitz entre en action et place 3 obus sur le Kent, sans toutefois infliger de dommages significatifs. Le Scheer place également un obus de 280 mm sur le croiseur, obus qui là encore ne cause que des dégâts modérés. Le Hipper répartit son tir entre le Berwick, qu'il touche à deux reprises et l'Echo, qui est traversé par un obus perforant qui n'explose pas. Les navires britanniques concentrent leur tir sur le Hipper, qui est atteint par 3 obus du Kent, 1 du Berwick et 3 du Foxhunter. La tourelle arrière du croiseur allemand est faussée par un obus de 8 pouces du Berwick qui ricoche sur le blindage tandis qu'un projectile du Kent démolit le poste de conduite de tir arrière. L'Echo, le Foxhunter lancent chacun 8 torpilles sur le Hipper.
A 0733, l'amiral Cilliax ordonne au Tirpitz d'engager le Berwick, et bientôt le croiseur est entouré par de gigantesques geysers. Un des obus frôle le navire et arrache le poste de direction de tir arrière. Le Scheer et le Hipper continuent à s'acharner sur le Kent, qui reçoit 6 obus de 280 mm, 4 de 152 mm et 2 de 203 mm. Cette avalanche de projectiles démolit ce qui restait des superstructure, déclenche de nombreux incendies et provoque plusieurs voies d'eau qui désemparent le navire. Il cesse de tirer et commence à perdre de la vitesse. L'Echo reçoit un obus de 105 mm qui ne cause que des dommages modérés. Le Hipper lance 3 torpilles sur le Kent. De leur côté, les croiseurs britanniques placent chacun deux obus sur le Hipper. La chance commence à abandonner le croiseur allemand car un impact à l'arrière des superstructures démolit une tourelle et provoque la chute du mât arrière. Les six obus de 120 mm que le Foxhunter met au but ne provoquent par contre pas de dommages importants.
A 0734, la chance continue à sourire au Berwick qui échappe aux obus du Tirpitz. Le Kent reçoit 7 nouveaux obus (3 de 280 mm, 2 de 150 mm et 2 de 203 mm) qui allument de nouveaux feux et provoquent de nouvelles voies d'eau. Le Hipper place un nouvel obus de 105 mm sur l'Echo, qui dévaste sa passerelle et sa cheminée. Au même moment, un obus de 203 mm du Berwick atteint de plein fouet la tourelle arrière du Prinz Eugen et la démolit.
A 0735, la chance abandonne le Berwick, qui est atteint par 3 obus du Tirpitz. L'un d'entre eux fait détonner la soute à munitions arrière du croiseur et, à l'instar du Hood quelques mois plus tôt, le navire se casse en deux parties et commence à couler très rapidement. De son côté, le Scheer s'acharne sur ce qui fut autrefois le Kent et l'atteint de 6 obus de 280 mm et 4 de 150 mm. Les marins allemands, n'ont pas le temps de se réjouir de leurs succès : quelques secondes après l'explosion du Berwick, le Hipper est secoué par une explosion, puis une deuxième au milieu du navire, sur son flanc tribord : deux des torpilles de l'Echo ont trouvé leur cible. Aussitôt, le bâtiment, dont la quille a été brisée, commence à se coucher lentement sur le flanc. |
| | | Francis Marliere Premier Maître
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| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Jeu 20 Déc 2007, 12:06 | |
| La suite.
A 0736 les navires amiraux des deux escadres disposent enfin d'une ligne de tir dégagée l'un sur l'autre ; l'amiral Cilliax et l'amiral Tovey ordonnent tous les deux d'ouvrir le feu sur ce qu'ils considèrent à juste titre comme la pièce maîtresse du dispositif adverse. Le Renown, qui suit de près le King Georges V, doit, à son grand malheur, retenir son tir pour ne pas atteindre un des destroyers qui s'interposent entre lui et le Tirpitz, et se contente d'envoyer des obus éclairants au dessus des navires allemands.
A cette distance, les marques sont vites trouvées et en moins d'une minute, le cuirassé allemand et son homologue anglais sont atteints respectivement à trois et deux reprises. Un des obus anglais explose sur la plage arrière du Tirpitz et désempare les tourelles Caesar et Dora. Sur le King Georges V, les dommages sont sérieux mais l'artillerie n'est pas touchée ; par contre, des éclats ont endommagé le poste de direction de tir principal.
Pendant ce temps, les destroyers britanniques engagent au canon l'Admiral Scheer, qui, bien que touché à plusieurs reprises, ne subit aucun dommage significatif grâce à son épaisse cuirasse. Le cuirassé de poche engage chacun des trois destroyers de la deuxième division (Fury, Intrepid et Icarus) avec respectivement ses pièces de 280, 150 et 105 mm. Le premier est broyé par deux obus de gros calibre et explose lorsque l'incendie fait détoner sa soute à munitions. Les deux autres sont tous les deux atteints à l'arrière par un projectile qui allume un feu dans leur soute arrière, qui doit être noyée pour éviter l'explosion.
A 0737, le tir des deux cuirassés, déréglé par les coups reçus, ne donne aucun résultat. Par contre, le Scheer engage le King Georges V et l'atteint d'un obus qui désempare sa tourelle arrière. Le croiseur allemand et les destroyers britanniques continuent à se cannoner, sans obtenir de résultat significatif.
A 0738, le Tirpitz place deux obus sur le King Georges V, qui subit de nouveau des dommages substantiels. En particulier, les communications entre la passerelle de commandement et le reste du navire sont temporairement coupées.
A 0739, le Renown peut enfin ouvrir le feu car le Foxhunter, qui bloquait sa ligne de tir sort de sa ligne et abat sur tribord (cap à l'ouest) pour éviter la collision. Sur le King Georges V, les ordres de désengagement donnés par l'amiral Tovey ne parviennent pas encore aux destinataires car les obus allemands ont neutralisé les communications à l'intérieur du navire. Les deux bâtiments de ligne font pleuvoir un déluge d'obus sur le Tirpitz, qui encaisse 4 projectiles de 14 pouces et un de 15 pouces. Deux des obus ricochent sur le blindage du cuirassé, mais les autres infligent des dégâts importants. Un obus perce la cuirasse sous la tourelle Bruno, la neutralisant, et allume un incendie dans la soute à munitions avant, qui devient vite incontrôlable. Le King Georges V est atteint par 3 obus du Tirpitz et 4 du Scheer. Bien que cinq de ces obus ricochent sur le blindage du navire amiral britannique, les dommages qu'il encaisse sont conséquents : de nombreux eux illuminent désormais ses superstructures et ses deux mâts sont abattus, emportant avec eux radars, postes de direction de tir et projecteurs. Les destroyers ont engagé un duel perdu d'avance avec l'artillerie secondaire des navires allemands. Le Scheer est atteint par cinq obus de 4,7 pouces qui ne l'endommagent tandis que l'Icarus est atteint par un projectile de 105 mm du Tirpitz et deux de 150 mm du Scheer, et perd l'usage de sa dernière tourelle.
A 0740, le Tirpitz qui n'a plus qu'une tourelle (Caesar) en état de marche parvient à placer un obus sur le King Georges V, tandis que le Scheer en met deux. Les dégâts sont modérés mais commencent à s'accumuler. Les navires de lignes britanniques atteignent leur cible à 4 et 3 reprises. Le Tirpitz commence à accuser le coup et l'incendie au niveau de la soute à munitions avant devient dangereux. Le Scheer et l'Icarus placent respectivement l'un sur l'autre deux obus de 150 mm et 5 de 4,7 pouces, qui n'infligent pas de dommages significatifs.
A 0741, Le Tirpitz touche une dernière fois le King Georges V. Cet obus, pas plus que les trois du Scheer ne cause pas de dommage particulièrement important, mais l'état du cuirassé britannique, illuminé comme un sapin de Noël par les incendies qui dévorent ses superstructures, commence à être inquiétant. Le navire cependant continue à tirer juste et place 5 nouveaux obus sur le Tirpitz, contre 4 au Renown. L'un d'entre eux atteint l'avant des superstructures et démolit la passerelle de commandement, tuant entre autres le capitaine du navire et blessant grièvement l'amiral Cilliax. Il ne survivra pas longtemps à ce drame : à peine a t'il repris ses esprits qu'une gigantesque flamme jaillit de la plage avant du Tirpitz. La seconde d'après, le navire est disloqué par une série d'explosions, se casse en deux et disparaît, engloutissant la totalité de son équipage.
A bord de l'Icarus cependant, on est à peine de profiter du spectacle : le duel avec les navires allemands se paie très cher. Le destroyer, atteint par 2 obus de 150 mm du Scheer et un du Tirpitz, est maintenant sévèrement avarié, ayant perdu ses deux mâts et toute son artillerie. Le croiseur allemand est lui atteint par 8 autres obus de 4,7 pouces, dont l'un démolit la conduite de tir des pièces de 150 mm.
La surprise provoquée par l'explosion du Tirpitz passée, le combat reprend de plus belle. L'Admiral Scheer, le seul survivant de l'escadre allemande, continue à pilonner le King Georges V (ainsi que les destroyers avec son artillerie secondaire), et est pris pour cible par le Renown et l'Intrepid. L'Icarus, dont l'artillerie est démantelée continue courageusement le combat et lance trois torpilles sur le Scheer en dépit des circonstances plus que difficiles (direction de tir neutralisée et angle de tir défavorable). Le navire amiral britannique, quant à lui, rompt prudemment le combat et met le cap au sud pour panser ses blessures.
A moins de 10,000 yards, les pièces de 28 cm du Scheer et celles de 15 pouces du Renown peuvent difficilement rater leur cible, et à 0743 le King Georges V encaisse quatre obus, dont l'un manque de peu de faire exploser sa soute à munitions arrière. En retour, le croiseur allemand est atteint, à quatre reprises également, par le Renown. Malheureusement pour lui, il n'a pas le capacité d'encaissement du cuirassé britannique, et il est à moitié désemparé par les dommages subis. La moitié de son armement est neutralisé et sa passerelle de commandement est dévastée par un coup direct dans les superstructures. Les dégâts sont cependant moindres que sur l'Icarus, qui, atteint de deux obus de 15 cm, est totalement désemparé. Les superstructures ravagées et dévorées par les flammes, les compartiments machines envahis par l'eau et la fumée, le navire commence à perdre lentement de la vitesse et ne peut plus que lutter pour sa survie. De son côté, l'Intrepid n'est atteint que par deux obus de 105 mm qui ne causent que des dommages superficiels.
Malgré les destruction la tourelle arrière du Scheer ainsi que les pièces de 15 et 10,5 cm encore opérationnelles continuent à tirer sur le King Georges V et les deux destroyers. A 0744, le navire amiral britannique est de nouveau atteint par un obus de 28 cm, qui ricoche sur le blindage du navire. L'Intrepid est atteint sur sa plage avant par deux obus de 105 mm qui démantèlent ce qui reste de son artillerie (tourelles A et B). En deux salves, le Renown met un point final à cette mêlée confuse en plaçant six obus sur le croiseur allemand qui n'en peut plus. Chassés par les flammes et la fumée, les servants évacuent les pièces qui n'ont pas été détruites, et les mécaniciens les chambres des machines.
Le croiseur de bataille britannique atteint encore son adversaire à quatre reprises à 0745, puis constatant l'absence de riposte, cesse le feu et ordonne à l'Intrepid d'achever le Scheer à la torpille. Le destroyer manoeuvre tandis que sa cible ralentit puis s'arrête, puis à 0757 lance trois torpilles. Le croiseur allemand est atteint par deux d'entre elles à 0759 et commence à chavirer lentement. A 0807, il bascule et disparaît dans le fond de l'Atlantique nord.
Epilogue :
Avec la levée du jour, les navires valides (essentiellement le Renown et le Foxhunter) s'efforcent de recueillir les survivants tandis que les autres entament un difficile combat contre les incendies et les voies d'eau. A bord de l'Intrepid et de l'Echo, les feux sont rapidement maîtrisés et les deux destroyers se joignent vite aux opérations de sauvetage. Le King Georges V et l'Icarus, plus sévèrement touchés, ne parviennent pas à juguler les feux qui les dévorent. Très rapidement, le destroyer doit être évacué. A bord du cuirassé, tout est fait pour tenter de sauver le navire : les soutes sont noyées pour prévenir leur explosion et le Renown arrose les superstructures avec ses puissantes lances à incendie. Les équipes incendie, qui ont perdu trop d'hommes et de matériel du fait des obus allemands, sont incapables de maîtriser les feux, et le navire doit être abandonné après plusieurs heures de lutte. Sabordé, le navire amiral de la Home Fleet disparaît à son tour peu avant midi.
Le bilan de l'engagement est lourd pour les deux partis. L'escadre allemande, composée du Tirpitz, de l'Admiral Scheer et de l'Admiral Hipper a été totalement détruite. La Royal Navy a payé très chèrement ce succès puisqu'un cuirassé, deux croiseurs lourds et trois destroyers ont été coulés. Compte tenu de l'avantage britannique dans tous les domaines, on peut difficilement qualifier l'engagement de franc succès tactique. |
| | | Jefgte Aspirant
Nombre de messages : 1473 Age : 68 Ville : France Emploi : Retraité Date d'inscription : 10/08/2005
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Jeu 20 Déc 2007, 14:43 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Jeu 20 Déc 2007, 17:34 | |
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| | | LE BRETON Amiral de la Flotte
Nombre de messages : 7378 Age : 53 Ville : Paris 12ème Emploi : Fonctionnaire Date d'inscription : 03/06/2006
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Jeu 20 Déc 2007, 18:38 | |
| _________________ kentoc'h mervel eget bezañ saotret (plutôt la mort que la souillure) devise de la Bretagne.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Ven 21 Déc 2007, 18:18 | |
| Bonne lecture. Tres reel |
| | | Francis Marliere Premier Maître
Nombre de messages : 731 Age : 50 Ville : Tourcoing Emploi : Fonctionnaire Date d'inscription : 21/09/2005
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Mer 16 Jan 2008, 13:53 | |
| Stéphane, le nom de la partie est la bataille de l'île Grimsey. Peut-être pourrais-tu modifier le titre du sujet de discussion ? |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Dim 27 Jan 2008, 11:06 | |
| voilà qui est fait. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey Lun 17 Aoû 2009, 22:40 | |
| Très chers tous, Bientôt la suite des aventures de la DKM dans les eaux anglaises. Le titre sera : le convoi PQ15 ! A très vite ! (enfin si Francis nous fait un résumé, ) |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey | |
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| | | | Amirauté : Norvège, scen. La Bataille de l'île Grimsey | |
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