Joyeuses Pâques

c'est quoi ce lapin en laisse. Il est pas dressé pour vivre en liberté dans un grand parc et arrivé au moindre bruit de Spéculos comme celui-ci :

comme l'a signifié bill dans la marine on ne prononce jamais ni n'écrit le nom de ce " cousin du lièvre " c'est comme les femmes à bord des soums ça porte la poisse

Les femmes porteraient la poisse ???

Mais comment le savoir ????
Au contraire du cousin du lièvre dont on connait l'apétit pour le chanvre à la sauce goudron ou pour les bordées de bon chêne des forêts de Colbert je n'ai jamais entendu dire ou lu que les femmes aient jamais grignotté de cordage sur un Sous-Marin

Merci de me donner des indiquations sur ce sujet.

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La voila le Jeudi Saint a Malaga..., avec la participatión de la Legion et l´Armada:

https://www.youtube.com/watch?v=ckEicyAM2QI

Joyeuses Pâques 2016

JJ a écrit:

Ben oui, superstition, une  femme à bord d'un soum ou d'un bateau de pêche c'est un " empech " comme on dit en Bretagne.

Superstition qui a sauvé la vie du barreur de l'U-480. Mais il y a plein d'autres exemples de cette superstition voir O de Kersauzon entre autres.

j'avais loupé ça. bien inspiré ce Horst Rösner !
doit-on en déduire qu'un certain nombre de marines modernes ont décidé se perdre leurs sous-marins ?

C'est l'oeuf au riz.......

warburton a écrit:

doit-on en déduire qu'un certain nombre de marines modernes ont décidé se perdre leurs sous-marins ?

De manière générale, par le passé, l'accès des bâtiments de guerre n'était autorisé aux femmes, que lors des escales... on se demande bien ce qu'elles venaient y faire! Peu avant le lever de l'ancre, elles étaient aimablement conviées à rejoindre (rapidement) le quai ou les canots, au risque, en cas de refus d’obtempérer ou tentative de dissimulation (avec l'aide ou non de membres de l'équipage), de devoir franchir la distance mer-terre à la nage!... je vous rappelle que, un, nager avec des jupons et une jupe, même sans culotte, constitue un exercice compliqué, deux, la pratique de la natation n'était pas chose courante par le passé!  Cas particulier, les épouses officielles d'officiers, qui, elles, évitaient les "50 points de nage" mais, qui, pour autant, n'étaient pas autorisées à rester à bord.

Maintenant, il y avait la règle et ses "dérives" ou exceptions.
Quelques bâtiments, du temps de la voile, ont, ainsi, embarqué, très officiellement, de rares rationnaires féminins, à la cuisine ou aux subsistances, mais, généralement, ces représentantes du "beau sexe" étaient plus proches du profil du catcheur professionnel que de celui d'une starlette et inspiraient peu à la bagatelle.
Certains amiraux ou capitaines, dans la Royale Navy, par exemple, embarquaient leur maitresse, si leurs ordres de mission les amenaient à faire escale au Cap ou en Indes (occidentales & orientales), où elle avait (ou était sensée avoir) de la famille, joignant, ainsi, l'utile à l'agréable. L'Amirauté faisait, alors, semblant de fermer les yeux, tant que les devoirs de la charge n'en pâtissaient pas, mais les conversations, un tantinet graveleuses, allaient bon train dans les carrés. L'embarquement officiel de l'épouse (légale) était très exceptionnel et, généralement, justifié par un contexte particulier (évacuation d'une base navale menacée, par exemple), car, dans l'éventualité d'une longue affectation dans les colonies, si elle souhaitait rejoindre le chef de famille ou rentrer au pays, elle était sensée emprunter les paquebots civils...quand le chef de famille avait les moyens financiers nécessaires, sinon, elle restait au foyer, pour tricoter et torcher les chiares.

Je n'ai rien contre les femmes dans la marine mais, en plagiant OSS 117 (Jean Dujardin)...  "On en reparlera quand il faudra porter quelque chose de lourd".

J'aurais dû y penser plus tôt ! C'est à pascal qu'il nous faut souhaiter une bonne fête, ce week-end !