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 | | Sujet: A Vichy le Berlingo remplace les pastilles ... Lun 14 Juil 2014, 13:59 | |
| Le Berlingo ( celui de Carpentras humm ) c'est moins doux que les pastilles de Vichy, mais bon ...
Ne riez pas comme dit l'autre, il y en a peut être déjà chez vous aussi.
Source journal la Montagne.
" Ni vu, ni connu. Le Citroën Berlingo passe inaperçu. A l’intérieur, il y a un radar, invisible pour les automobilistes qu’il flashe. Les gendarmes l’utilisent depuis une semaine pour lutter contre les excès de vitesse.
Cette voiture est le nouvel outil dont disposent les gendarmes de l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) pour faire la chasse aux excès de vitesse. Le Berlingo est en effet équipé d’un radar, invisible aux regards des automobilistes qu’il flashe.
Le radar est camouflé derrière la plaque d’immatriculation avant et la lumière infrarouge du flash ne se voit pas. Il se déclenche (en roulant ou à l’arrêt) au passage des voitures qui doublent le Berlingo et au passage de celles qu’il croise, en laissant une petite marge de manœuvre au conducteur. Sur une route limitée à 90 km/h, il flashera la voiture qui passe à 102 km/h.
« Cette voiture-radar est un moyen supplémentaire qui s’intègre dans les dispositifs existant, a souligné le colonel Lombard, commandant du groupement de gendarmerie de l’Allier lors de la présentation du véhicule mardi à Moulins, au préfet Arnaud Cochet. L’objectif n’est pas de piéger l’automobiliste mais d’avoir des infractions caractérisées. Il doit permettre de lutter efficacement contre les vitesses excessives pour les personnes réfractaires aux règles de sécurité. Dans 70 % des accidents, la vitesse est un facteur aggravant".
Les conducteurs ne doivent pas s’attendre à croiser le Berlingo uniquement sur les grands axes du département (RN 7, A71 et RCEA). Les gendarmes utilisent aussi la voiture-radar sur les routes départementales. C’est là où se produisent 80 % des accidents.
Comme c’est le cas avec les radars automatiques, les infractions relevées par la voiture-radar sont directement transmises au centre de traitement de Rennes qui envoie ensuite les contraventions dans les boîtes aux lettres. Le moment où l’on découvre que l’on a été flashé. " |
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